Calendrier des saisons en Médecine Chinoise 2024

Calendrier des saisons en Médecine Chinoise 2024

Pour prendre soin de soi au rythme de la nature et des saisons selon la médecine chinoise, voici les dates des saisons et des intersaisons de 2024 sur lesquelles vous pouvez vous appuyer.

Les périodes d’intersaisons sont particulièrement propices pour recevoir un chi nei tsang – le massage du ventre énergétique. Il aide le corps a se remettre des éventuels déséquilibres de la saison passée et à préparer la saison à venir – Les organes fonctionnant avec plus ou moins d’intensité selon les saisons.

 

Hiver

8 novembre 2023 au 15 janvier 2024  Saison de l’introspection

Élément : Eau
Organe et viscère associés : Rein – Vessie

Intersaison

16 janvier 2024 au 3 février 2024  Saison de la transformation

Élément : Terre
Organe : Rate

Printemps

4 février 2024 au 16 avril 2024 – Saison de l’expansion, du renouveau

Elément : Bois
Organe et viscère associés : Foie – Vésicule biliaire

Intersaison

17 avril 2024 au 4 mai 2024  Saison de la transformation

Élément : Terre
Organe : Rate

Eté

5 mai 2024 au 18 juillet 2024  Saison de l’extériorisation

Élément : Feu
Organe et viscère associés : Cœur – Intestin grêle

Intersaison

19 juillet 2024 au 6 août 2024 – Saison de la transformation

Élément : Terre
Organe : Rate

Automne

7 août 2024 au 20 octobre 2024 – Saison de la transition

Élément : Métal
Organe et viscère associés : Poumon – Gros intestin

Intersaison

21 octobre 2024 au 6 novembre 2024 – Saison de la transformation

Élément : Terre
Organe : Rate

Hiver

7 novembre 2024 au 15 janvier 2025  Saison de l’introspection

Élément : Eau
Organe et viscère associés : Rein – Vessie

Dire merci pour mieux dire aurevoir

Dire merci pour mieux dire aurevoir

« Dire merci pour mieux dire aurevoir »

 

8 décembre 2023

La saison automnale est propice au dépouillement. Les feuilles tombent, la végétation se met au ralenti et se prépare au repos attendu par l’hiver.
Pour nous aussi, l’automne est propice au ménage intérieur. De nous-même (à un niveau physique, émotionnel, psychique…) mais aussi de notre maison, de notre lieu de vie.  J’aime d’ailleurs comparer ces deux espaces, complètement reliés.
Et j’aime les parallèles avec l’observation de la nature. La nature et nous, c’est la même chose pas vrai ?

Désencombrer, me séparer a toujours été un peu compliqué pour moi. L’année dernière je me suis lancée dans un grand tri, qui m’a fait le plus grand bien mais qui n’a pas été simple aussi. Tous les souvenirs qui remontent et qui entrainent moultes émotions :-).
Cette année, je me suis fait la remarque que c’était bien plus facile pour moi. Et aussi, que je le faisais plus vite.

 

Qu’est-ce qui a changé ?

 

🌺 La confiance qu’avec moins (mais mieux, en tout cas « mieux » selon mes valeurs), je gagne plus. Plus de légèreté, plus d’énergie, plus d’enthousiasme, plus de fluidité, plus d’envies nouvelles, plus d’amour pour moi, plus d’ouverture, plus d’air !
J’ai compris que ce n’était pas dangereux. Que les solutions arrivent toujours à temps. Que j’ai toujours tout ce dont j’ai besoin à l’instant T (venant par surprise, ou par de nouvelles idées me venant ou de nouvelles opportunités se présentant par exemple).
J’ai compris aussi que suis plus en danger et mal à l’aise en ayant trop, ou en gardant des choses n’étant plus en accord avec ce que je suis devenue, mais aussi en étant trop solicitée, quand visuellement et émotionnellement les objets me crispent également.

 

🌺 La joie anticipée de l’état de bien-être que je gagnerais ensuite. Et la joie anticipée des nouvelles choses ou prises de conscience qui vont pouvoir se présenter à moi. Parce que maintenant, je la connais. C’est ancré dans mes cellules. Et cela s’ancre davantage à chaque rangement, à chaque ménage, à chaque tri. 

🌺 Je prends le temps en conscience de dire merci, avant de dire aurevoir. Pour ce qui est plus difficile pour moi. Cela ouvre le corps et l’esprit, on se sent plein de gratitude et riche des souvenirs et/ou apprentissages vécus. On se sent donc plein, en faisant le vide :-).

Ça c’est un vrai secret pour moi. Dire merci, avant de dire aurevoir ! Et c’est valable pour tout. Les personnes, les objets, les projets…
Cela change tout !

Et vous, pensez-vous à dire merci avant de dire aurevoir ? Qu’est-ce que cela change pour vous ?

 

Flavie

 

🏵️

 

Si vous souhaitez désencombrer votre corps et votre esprit de l’ancien qui n’a plus sa place et qui vous empêche d’avancer, je serais ravie de vous recevoir.
A mon cabinet sur Nantes pour les soins énergétiques et massages du ventre, mais aussi à distance par visio. ou téléphone.
Au plaisir de vous aider à être plus léger et à avancer sur votre chemin :-).

Calendrier énergétique chinois 2023

Calendrier énergétique chinois 2023

Calendrier des saisons et des intersaisons en médecine énergétique chinoise pour 2023

 

Pour prendre soin de soi au rythme de la nature et des saisons selon la médecine chinoise, voici les dates de 2023 sur lesquelles vous pouvez vous appuyer.

Les périodes d’intersaisons sont particulièrement propices pour recevoir un chi nei tsang – le massage du ventre énergétique. Il aide le corps a se remettre des éventuels déséquilibres de la saison passée et à préparer la saison à venir – Les organes fonctionnant avec plus ou moins d’intensité selon les saisons.

 

Hiver

7 novembre 2022 au 15 janvier 2023  Saison de l’introspection

Élément : Eau
Organe et viscère associés : Rein – Vessie

Intersaison

16 janvier 2023 au 3 février 2023  Saison de la transformation

Élément : Terre
Organe : Rate

Printemps

4 février 2023 au 16 avril 2023 – Saison de l’expansion, du renouveau

Elément : Bois
Organe et viscère associés : Foie – Vésicule biliaire

Intersaison

17 avril 2023 au 5 mai 2023  Saison de la transformation

Élément : Terre
Organe : Rate

Eté

6 mai 2023 au 17 juillet 2023  Saison de l’extériorisation

Élément : Feu
Organe et viscère associés : Cœur – Intestin grêle

Intersaison

18 juillet 2023 au 7 août 2023 – Saison de la transformation

Élément : Terre
Organe : Rate

Automne

8 août 2023 au 19 octobre 2023 – Saison de la transition

Élément : Métal
Organe et viscère associés : Poumon – Gros intestin

Intersaison

20 octobre 2023 au 6 novembre 2023 – Saison de la transformation

Élément : Terre
Organe : Rate

Hiver

7 novembre 2023 au 15 janvier 2024  Saison de l’introspection

Élément : Eau
Organe et viscère associés : Rein – Vessie

Méthode pratique d’auto-compassion

Méthode pratique d’auto-compassion

M’observer comme j’observerais mon enfant

 

Il m’est venu une idée (très efficace chez moi) afin de prendre soin de moi d’avantage mais aussi afin de réagir différemment face à certains de mes comportements ou certaines de mes pensées.

Une méthode pratique d’auto-compassion qui, si elle m’aide aussi bien, pourrait peut-être résonner aussi en vous et vous aider également. Alors la voici.

Cette idée est celle de m’observer comme j’observerais mon propre enfant.

Nous pouvons observer que nombreuses de nos actions, réactions, gestes, pensées et paroles reflètent une part de l’enfant qui est en nous et qui n’a pas reçu les soins adéquats à un instant T et pour diverses raisons (que je n’évoquerais pas ici car cela ferait l’objet d’un sujet à part entière).
En effet, me voir comme je verrais mon propre enfant était pour moi évident afin de m’aimer et de me traiter à la hauteur de l’amour que je porterais pour mon propre enfant.

 

Un regard qui voit tout et qui accueille tout

 

Si je porte sur moi-même le regard que je porterais sur mon propre enfant – un regard qui serait rempli de bienveillance, d’amour, de respect, d’écoute, de présence, de tendresse, de compréhension, d’empathie, de douceur… un regard qui voit tout et qui accueille tout -, alors que se passe-t-il ?
Qu’est-ce que cela change aux endroits où par habitude, par réflexe, je ne me suis pas encore apportée tout cela ?
Cela change tout…
C’est-à-dire qu’en un instant, je me comporte différemment, je me parle autrement, je pose une action différente, mon corps se détend et un espace en moi guérit parce qu’à l’intérieur, cette partie de moi a été vue, entendue, accueillie, écoutée, prise en compte : aimée. Tout alors change. La guérison est là. L’amour est là. Et si l’amour est là en soi, il sera aussi ressenti autour de soi.

 

Quand je prends soin de moi, je prends soin de l’autre.
Lorsque je guéris, l’autre peut guérir aussi…
Quand je m’apporte douceur, écoute, présence, bienveillance, tendresse… alors s’ouvre l’espace en l’autre pour s’apporter lui aussi douceur, écoute, présence, bienveillance, tendresse…

 

S’observer à travers l’oeil du parent aimant

 

Si cette idée, cette proposition de pratique d’auto-compassion, fait sens pour vous, je vous invite à, vous aussi, mettre plus de conscience sur vos gestes, vos actes, vos paroles, vos pensées… à vous observer à travers l’oeil du parent aimant, bienveillant, doux, à l’écoute, présent, compréhensif, empathique, tendre que vous pourriez être… et voir ce que cela changerait pour vous…

 

Un regard d’auto-compassion qui observe sans juger…

 

 

Je serais ravie de connaître votre avis, votre ressenti sur tout ça et sur votre propre expérience.
N’hésitez-pas à les déposer en commentaire, ou bien à me les envoyer par mail si cela est plus confortable pour vous.

 

Nous faisons tous de notre mieux pour Être Humain, et nous évoluons ensemble :-).

A bientôt et au plaisir de vous lire à mon tour,

Flavie

=> Cet article est un extrait issu d’une partie du cheminement qui m’a amenée à trouver cette méthode d’auto-compassion. Pour le lire, c’est par ici.

 

Prendre soin de moi

Prendre soin de moi

Au fond de moi réside le souhait d’être un jour capable d’aimer le monde entier.

 

Au fond de moi réside le souhait d’être un jour capable d’aimer le monde entier.
Qui dit le monde entier, dit chaque être humain (et chaque être vivant) croisé, faisant ou ayant fait partie de ma vie, ceux dont je connais simplement l’existence, et ceux que je ne rencontrerais jamais.
Par aimer, j’entends : développer la capacité de voir et d’accueillir une personne, un être, dans tout ce qu’il est, dans tout ce qui vit en lui.

 

Ça, c’est un des objectifs que je vise pour ma vie, une ligne directrice. Je constate le défi que cela représente et je ne m’impose pas d’y arriver avant mon dernier souffle, parce que le défi est grand et qu’il peut prendre plus d’une vie. Néanmoins, garder en moi cette direction tout au long de ma vie me convient.

 

Pour être plus aimante, il m’est nécessaire d’aimer chaque espace de mon être.

 

De ce souhait fait naître en moi le constat suivant (constat qui m’est d’ailleurs rappelé à chaque fois que je l’oublie ou que je n’en tiens pas compte…) : pour être plus aimante, et surtout pour être plus aimante là où c’est plus dur pour moi d’aimer l’autre, il m’est nécessaire de prendre soin de moi, il m’est nécessaire d’aimer chaque espace de mon être.

Si je n’aime pas certaines choses chez moi, alors je souffre.
Et si je ne m’occupe pas de cette souffrance, je ne peux pas la transformer.
Et si je ne la transforme pas, la vie ne peut plus circuler à cet espace en moi…
Et la vie veut circuler en moi, parce qu’elle a des choses à me faire faire pour la propager autour de moi :-).
Je parle en mon nom, mais c’est selon moi comme ça pour nous tous…

 

Que c’est dur d’aimer parfois

 

Revenons à ce que j’exprimais plus haut. A certains endroits en soi, que c’est dur d’aimer parfois… C’est dur parce que cela veut dire : reconnaître qu’un endroit en moi que je n’avais pas envie de voir souffre, y ressentir la douleur, se replonger parfois dans un(des) souvenir(s) qui nous touche(nt) encore.

Mais ce qui est fou chez nous humain c’est qu’on ne veut pas ressentir la douleur alors qu’on souffre déjà de ne pas voir un endroit en nous qui souffre ! Vous me suivez :-p ?
Oui, d’accord, entre les deux douleurs, il y en a une qu’on maitrise. Et il y a des choses qu’on tient à maitriser encore n’est-ce pas ? :-p C’est aussi l’objet d’un sujet à part entière… 🙂

Dans tous les cas, autant que la douleur puisse s’exprimer, qu’elle sorte, pour être mieux après, non ? 🙂
Il nous revient la décision de choisir notre souffrance… Celle qui nous offrirait la possibilité d’aller mieux, ou celle qui nous maintiendrait dans un espace inconfortable mais que je connais. En sachant que les deux choix se respectent, car nous avons toujours une bonne raison d’agir ainsi. Notre système interne cherchera toujours à nous protéger… et notre système interne agit à partir de sa dernière mise à jour ;-).

De toute façon, ce qui reste sous le tapis est toujours là tant que l’on ne s’en occupe pas…


Quoi qu’il en soit, c’est certes parfois difficile de prendre soin des espaces souffrants en moi, mais quelque chose en moi refuse d’abandonner mon souhait de devenir plus aimante, et de faire ce que la vie attend de moi. Ainsi, le carburant nécessaire pour réussir à dépasser ça se présente en moi, lorsque vient le juste moment pour moi.

 

Prendre soin de moi est une nécessité absolue

 

Alors, pour se faire, prendre soin de moi est une nécessité absolue. Non pas uniquement pour mon propre confort, mais aussi parce qu’étant tous reliés, tous inter-connectés, si je prends soin de moi, je prends soin de l’autre.
Prendre soin de moi est donc un acte généreux…


Quand je prends soin de moi, je me sens mieux, je peux rayonner, et je peux accomplir ce que je suis sensée accomplir.
Et de cette joie et de cet accomplissement, je peux faire le constat qu’ils se propagent, qu’ils en bénéficient aux autres.
Certains vont accueillir cette joie et l’amplifier, quant d’autres vont prendre conscience qu’il leur en manque. Cela générera une occasion de faire bouger les choses en eux et une occasion d’évoluer.
Notre changement interne bénéficie à tous…


Prenons un exemple.
Laissez venir à vous l’image ou la sensation d’une personne que vous aimez très fort.
Imaginez qu’elle est malade, ou bien qu’il lui arrive quelque chose de vraiment difficile. Comment vous sentez-vous à cette idée ? Que ressentez-vous dans votre corps ?

A l’inverse maintenant, imaginez que cette personne que vous aimez très fort reçoit une nouvelle qui la rend particulièrement heureuse et joyeuse. Qui l’épanouie. Comment vous sentez-vous ? Que ressentez-vous dans votre corps ? 


Ce qui se passe pour les autres nous impacte… Ce qui se passe pour vous impacte donc aussi les autres… Vous avez fait le constat par cet exemple très simple que nous sommes tous reliés, tous connectés.

 

M’observer comme j’observerais mon enfant

 

M’est alors venue une idée afin de prendre soin de moi d’avantage et de prendre conscience de certains de mes besoins, et qui pourrait peut-être vous aider à votre tour. C’est celle de m’observer comme j’observerais mon enfant.
Nombreuses de nos actions, réactions, gestes, pensées et paroles reflètent une part de l’enfant qui est en nous et qui n’a pas reçu les soins adéquats à un instant T et pour diverses raisons (que je n’évoquerais pas ici car cela ferait l’objet d’un sujet à part entière). 

 

Un regard qui voit tout et qui accueille tout

 

Si je porte sur moi-même le regard que je porterais sur mon propre enfant – un regard qui serait rempli de bienveillance, d’amour, de respect, d’écoute, de tendresse, de compréhension, d’empathie, de douceur… un regard qui voit tout et qui accueille tout -, alors que se passe-t-il ? Qu’est-ce que cela change aux endroits où par habitude, par réflexe, je ne me suis pas encore apportée tout cela ?
Cela change tout…
Cela change qu’en un instant, je me comporte différemment, je me parle autrement, je pose une action différente, mon corps se détend et un espace en moi guérit parce qu’à l’intérieur, cette partie de moi a été vue, entendue, accueillie, écoutée, prise en compte : aimée. Tout alors change. La guérison est là. L’amour est là. Et si l’amour est là en soi, il sera aussi ressenti autour de soi.

 

Quand je prends soin de moi, je prends soin de l’autre.
Quand je guéris, l’autre peut guérir aussi…
Quand je m’apporte douceur, écoute, présence, bienveillance, tendresse… alors s’ouvre l’espace en l’autre pour s’apporter lui aussi douceur, écoute, présence, bienveillance, tendresse…

 

S’observer à travers l’oeil du parent aimant

 

Si cette idée, cette proposition, fait sens pour vous, je vous invite à, vous aussi, mettre plus de conscience sur vos gestes, vos actes, vos paroles, vos pensées… à vous observer à travers l’oeil du parent aimant, bienveillant, doux, à l’écoute, présent, compréhensif, empathique, tendre que vous pourriez être… et voir ce que cela changerait pour vous…

 

Je serais ravie de connaître votre avis, votre ressenti sur tout ça et sur votre propre expérience.
N’hésitez-pas à les déposer en commentaire, ou bien à me les envoyer par mail si cela est plus confortable pour vous.

 

Nous faisons tous de notre mieux pour Être Humain, et nous évoluons ensemble :-).

 

A bientôt et au plaisir de vous lire à mon tour,

Flavie

 

 

La leçon de l’aigle et du corbeau

La leçon de l’aigle et du corbeau

La leçon de l’aigle et du corbeau

Le seul oiseau qui ose s’attaquer à un aigle est le corbeau.
Il se pose sur le dos de l’aigle et lui mord le cou.
L’aigle ne réagit pas,
il ne se bat pas avec le corbeau.
Il ne gaspille ni son temps, ni son énergie,
à lutter contre ce corbeau.

Au lieu de cela, il ouvre grand ses ailes,
s’élève dans les airs,
toujours plus haut dans le ciel.
Plus l’aigle s’élève,
plus le corbeau éprouve du mal a respirer.
Il finit par tomber,
inconscient par manque d’oxygène.

 

Apprenez de l’aigle.

Ne luttez pas contre les corbeaux,
contentez-vous juste de vous élever.
Les corbeaux vont probablement s’accrocher
et bientôt, ils retomberont.

Ne vous laissez pas distraire de votre mission…
Gardez votre attention vers le haut,
vers les buts au-delà du chemin qui y mène,
persistez, tenez, apprenez, grandissez,
élevez-vous, de plus en plus.

Ignorez ces corbeaux juchés sur votre dos,
qui tentent de vous énerver,
de vous détourner de ce but ultime.

Chaque fois que quelque chose,
que quelqu’un, vous énerve,
vous déçoit, vous attaque,
souvenez-vous de cette image,
déployez vos ailes, et montez.
Ils ne pourront vous suivre.

Résoudre un conflit par l’écriture

Résoudre un conflit par l’écriture

Un moyen que j’adore utiliser : l’écriture.

Pour clarifier mes pensées, pour mettre de l’ordre dans ma tête, pour faire du bien à mon coeur, pour laisser émerger des idées, mais aussi pour résoudre des conflits.

Des conflits avec moi-même, avec un sujet en particulier, ou bien avec quelqu’un.

Lorsque ce conflit concerne un sujet, cela me permet de l’apaiser, de le comprendre, de trouver des solutions, d’avancer…

Lorsque je ressens un conflit entre une personne et moi, avant de pouvoir échanger en direct avec elle avec l’esprit clair et dénué de charges émotionnelles (et même si cela est impossible d’en parler en direct : personne décédée, dialogue rompu ou écoute non possible…), j’aime utiliser cet exercice d’écriture.

Il s’agit de construire par écrit un dialogue, entre soi et la personne/le sujet.

 

Construire un dialogue intuitif

 

Dans un premier temps, je vous invite à vous installer dans un endroit calme et propice à votre concentration, avec papier et crayon. 

 

  • La première partie du dialogie, la première voix, vous concerne.

 

Commencez par prendre quelques grandes et profondes respirations, puis pensez à la personne/au sujet avec laquel(le) vous sentez du conflit/des tensions/de la colère…

Prenez votre crayon, puis laissez-le courir sur le papier en vous autorisant à exprimer tout ce que vous ressentez, tout ce que vous avez besoin d’exprimer. Sans jugement…

 

  • La deuxième partie concerne la réponse de cette personne ou de ce sujet. 

 

Je vous invite maintenant à vous connectez à lui/elle. Placez-vous derrière ses yeux, mettez-vous en empathie avec lui/elle, puis prenez votre crayon et écrivez tout ce qui vient à vous… faites confiance au processus, notez simplement ce qui vient à vous sans jugement toujours.

 

  • Enfin, clôturez le dialogue en répondant à la partie précédente depuis votre voix  (vous pouvez également poursuivre l’échange si vous en ressentez le besoin et l’utilité.

 

Lorsque vous avez terminé, vous pouvez brûler ces papiers si cela est possible de le faire en toute sécurité… Sinon, demandez-vous ce qui serait bon pour vous d’en faire.

 

Bonne écriture !
Bonne résolution de conflit !

 

N’hésitez-pas à me partager en commentaire les effets produits pour vous 🙂

Conversation… Prendre sa place dans le monde

Conversation… Prendre sa place dans le monde

A tous ceux et celles qui peinent à prendre leur place dans ce monde, qui procrastinent, qui ont des difficultés à s’épanouir dans leur vie professionnelle/sociale… Cette conversation est pour vous.
Bonne lecture !

 

– Bonjour !

– Bonjour ! Heureux que tu fasses appel à nous :-).

– Oui mais en vrai je ne sais pas quoi vous demander. Je sais que j’ai des choses à vous demander, mais je ne sais pas quoi.

– Peut-être que tu peux commencer par ce qui te préoccupe le plus en ce moment ?

– Je crois que c’est mon travail qui me préoccupe le plus (et aussi ma tête qui me démange tout le temps et je n’arrive pas à arrêter ça).

– Ne t’éparpille pas. Ton travail donc. C’est à dire ?

– Bah, je ne travaille pas beaucoup, je ne me sens pas trop investi(e) / engagé(e), je gagne un peu de temps en temps, et je suis caché(e) chez moi.

– Et c’est un problème ?

– Bah oui.

– Pourquoi ?

– Bah parce que pendant ce temps là les autres sont debout tôt, bossent toute la journée/semaine, sont très actifs et moi je ne fous rien. Ce n’est pas normal.

– C’est qui, les autres ?

– Bah les adultes. Ceux de mon âge. Les actifs. Ceux qui sont sorti des études et pas encore retraités, ceux qui avancent, qui font des projets.

– Donc ce que tu voudrais c’est te sentir actif(ve), avancer, faire des projets ?

– Bah oui.

– Et tu n’y arrives pas ?

– Non. Je galère.

– Tu galères à quoi ?

– Je galère à me faire une place, à prendre position, à me montrer, à parler, à vivre…

– Pourquoi tu galères ?

– Parce que je me juge, je m’éparpille, je sens les projecteurs braqués sur moi, j’ai peur qu’on me me trouve nul(l), que ce que je fais ne serve à rien, n’apporte rien.

– Mais en faisant rien, tu n’apportes encore moins ? Enfin, tu n’apportes déjà rien.

– C’est pas faux. Mais au moins, je n’ai pas mal.

– Tu es sûr ?

– Bah je n’ai pas mal des autres. Juste de moi.

– Et c’est assez, n’est-ce pas ?

– Oui…

– Ne crois-tu pas qu’il faudrait déjà arrêter de te faire du mal ?

– Comment ?

– En arrêtant de t’arracher la tête, en arrêtant de te protéger de la douleur.

– Mais si je ne me protège plus de la douleur, j’aurais trop mal, je vais mourir !

– La douleur ne fait pas mourir. Ne pas agir, si.

– Donc je me tue toute seule.

– Oui.

– Par orgueil, par fierté ?

– Là n’est pas la question.

– Que faire alors pour arrêter de me tuer ?

– Vivre.

– Comment on fait ?

– Tu n’as rien d’autre à faire qu’à te laisser porter, à écouter et à agir. Tu sais ce qui est bon pour toi. Peux-tu te l’autoriser ?

– Je crois oui. Mais j’ai un peu peur.

– Peur de quoi ?

– Que se passerait-il si j’étais heureux(se) ? Que va-t-il se passer si je m’épanoui(e) ?

– Tu veux dire, autour de toi ? Tes proches ?

– Oui

– Et bien ils seront heureux et soulagés de te voir heureux(se)… Et d’autres seront ramenés à l’espace en eux qui ne s’autorise pas le bonheur. Et tant mieux, cela leur offrira la possibilité d’avancer.

– C’est donc tout bénéf.

– Oui.

– Je ne perdrais pas leur amour ?

– Bien sûr que non. Ce n’est pas leur amour que tu perdras, mais leur attachement.

– Et ce n’est pas pareil ?

– Non. L’amour libère, l’attachement contraint. Et c’est l’amour libre que tu souhaites n’est-ce pas ?

– Oui.

– Alors va mon enfant. Vis. Libère toi de tes chaînes. Avance. Expérimente. Trompe toi. Mais vis. S’il te plait vis. Le monde a besoin de toi.

– Pourquoi a-t-il besoin de moi ?

– Il a besoin de ta lumière. Comme de celle de chacun d’entre vous. Brillez mes enfants, brillez…

 

Prenez un temps de pause, trois grandes respirations…
Comment vous sentez-vous ?
Quelle est la prochaine étape pour vous ?

N’hésitez-pas à me partager cela en commentaire.

Calendrier des saisons en Médecine Chinoise 2024

Calendrier énergétique chinois 2022

Calendrier des saisons et des intersaisons en médecine énergétique chinoise pour 2022

 

Hiver

7 novembre 2021 au 16 janvier 2022  Saison de l’introspection

Élément : Eau
Organe et viscère associés : Rein – Vessie

Intersaison

17 janvier 2022 au 3 février 2022  Saison de la transformation

Élément : Terre
Organe : Rate 

Printemps

4 février 2022 au 16 avril 2022 – Saison de l’expansion, du renouveau

Elément : Bois
Organe et viscère associés : Foie – Vésicule biliaire

Intersaison

17 avril 2022 au 4 mai 2022  Saison de la transformation

Élément : Terre
Organe : Rate

Eté

5 mai 2022au 18 juillet 2022Saison de l’extériorisation

Élément : Feu
Organe et viscère associés : Cœur – Intestin grêle

Intersaison

19 juillet 2022 au 6 août 2022 – Saison de la transformation

Élément : Terre
Organe : Rate

Automne

7 août 2022 au 18 octobre 2022 – Saison de la transition

Élément : Métal
Organe et viscère associés : Poumon – Gros intestin

Intersaison

19 octobre 2022 au 6 novembre 2022 – Saison de la transformation

Élément : Terre
Organe : Rate

Hiver

7 novembre 2022 au 15 janvier 2023Saison de l’introspection

Élément : Eau
Organe et viscère associés : Rein – Vessie

 

 

 

 

 

Contact & prise de rendez-vous

Flavie Arnou

Soins énergétiques - Reiki - Chi Nei Tsang

Nantes
06 89 65 56 69
contact@flaviearnou.com

L’eau qui nettoie : deux visualisations pour vous aiguiller

L’eau qui nettoie : deux visualisations pour vous aiguiller

Pratiquer la pleine conscience au quotidien… sous la douche

 

Chaque jour, nous prenons soin de nettoyer notre corps physique. Et souvent, prendre sa douche devient un geste machinal, durant lequel nous pensons à des tas de choses : ce que l’on a à faire aujourd’hui, notre journée qui vient de se dérouler, la discussion avec untel… etc etc. Parfois, nous pouvons penser à tout, SAUF, à ce que nous sommes en train de faire.
Dans notre tête, des pensées sur le futur ou sur le passé se déroulent les unes à la suite des autres. Et nous oublions que nous sommes là, ici, dans cet instant si bref que nous appelons instant présent.

L’instant présent, si furtif soit-il, est pourtant le seul endroit où nous pouvons trouver la paix, et la clarté d’esprit. Lorsque l’on écoute vraiment, lorsque nous sommes vraiment à ce que nous faisons, tout s’éclaire et tout se simplifie. 



Voilà alors deux processus à mettre en place pour passer ses moments sous la douche en conscience.
Le matin pour s’énergiser et se préparer à la journée à venir, et le soir, pour se dépolluer et passer une nuit réparatrice. 

 

 

 

Douche en pleine conscience du matin

 

Lors de votre douche matinale, prenez le temps d’être pleinement à ce que vous faites.
Ressentez pleinement chaque partie de votre corps.
Ressentez l’eau qui coule, sentez sa pression, sa chaleur…
Ressentez les zones où vous avez plus froid, plus chaud…
Et sentez que chaque goutte d’eau sur votre peau vous ressource de toute votre énergie. Chaque goutte d’eau vient vous régénérer et vous apporter tout ce dont vous avez besoin pour cette journée. Profitez-en pour vous demander de quoi vous avez besoin, et comment vous avez envie de vous sentir aujourd’hui. Dans quel état d’esprit avez-vous envie de passer cette journée ?
Prenez le temps de ressentir l’état d’être que vous souhaitez développer aujourd’hui.
Vous pouvez aussi fermer les yeux pour mieux ressentir, et pour sonder votre corps. Passer en revue chaque partie de votre corps et ressentir comment elle va. Et laisser l’eau lui apporter ce dont elle a besoin.

 

 

Douche en pleine conscience du soir

 

Lors de votre douche du soir, prenez le temps d’être pleinement à ce que vous faites.
Ressentez pleinement chaque partie de votre corps.
Ressentez l’eau qui coule, sentez sa pression, sa chaleur…
Ressentez les zones où vous avez plus froid, plus chaud…
Et sentez que chaque goutte d’eau sur votre peau amène avec elle toutes vos préoccupations, toutes les émotions et éventuels soucis que vous avez absorbées au cours de votre journées et qui ne vous appartiennent pas. Laissez partir les frustrations, les doutes, les peurs, les tensions, le stress et les pensées qui vous polluent et ne vous sont pas utiles… Laisser partir tout ce dont vous n’avez plus besoin, tout ce qui vous pèse, tout ce dont vous êtes prêt à vous débarrasser et qui vous empêche d’avancer paisiblement.
Et ressentez la paix qui s’installe en vous.
Vous pouvez aussi fermer les yeux pour mieux ressentir, et pour sonder votre corps. Pour passer en revue chaque partie de votre corps et ressentir comment elle va. Et laisser l’eau lui apporter ce dont elle a besoin.

 

 

 

C’est si simple, et cela fait tellement de bien ! Je me ferais un plaisir de lire dans les commentaires ce que cette routine a entraînée comme changements chez vous 🙂 !

Le chêne et le roseau, Jean de La Fontaine

Le chêne et le roseau, Jean de La Fontaine

Le Chêne et le Roseau

Le Chêne un jour dit au Roseau :
« Vous avez bien sujet d’accuser la Nature ;
Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau.
Le moindre vent, qui d’aventure
Fait rider la face de l’eau,
Vous oblige à baisser la tête :
Cependant que mon front, au Caucase pareil,
Non content d’arrêter les rayons du soleil,
Brave l’effort de la tempête.
Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr.
Encore si vous naissiez à l’abri du feuillage
Dont je couvre le voisinage,
Vous n’auriez pas tant à souffrir :
Je vous défendrais de l’orage ;
Mais vous naissez le plus souvent
Sur les humides bords des Royaumes du vent.
La nature envers vous me semble bien injuste.
– Votre compassion, lui répondit l’Arbuste,
Part d’un bon naturel ; mais quittez ce souci.
Les vents me sont moins qu’à vous redoutables.
Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu’ici
Contre leurs coups épouvantables
Résisté sans courber le dos ;
Mais attendons la fin. « Comme il disait ces mots,
Du bout de l’horizon accourt avec furie
Le plus terrible des enfants
Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs.
L’Arbre tient bon ; le Roseau plie.
Le vent redouble ses efforts,
Et fait si bien qu’il déracine
Celui de qui la tête au Ciel était voisine
Et dont les pieds touchaient à l’Empire des Morts.
 
 
Jean de La Fontaine,  1668
 
 
 
 
 
Découvrir d’autres articles et inspirations et méditations guidées.
Tu n’as rien à faire de particulier pour être aimé.

Tu n’as rien à faire de particulier pour être aimé.

Et si tu n’avais rien à faire de particulier pour être aimé ?


Et si tu avais simplement à être toi, à suivre les élans de ton coeur, à être spontané ? A te présenter au monde tel que tu le ressens ?
Et si un autre dans ce monde te suivait dans ce mouvement, si un autre percevait la beauté de ton âme à travers ce que tu émets, pourrais-tu t’autoriser à accueillir ? Qu’est-ce que cela changerait ? 

Faire ce que tu as envie de faire…
Dire ce que tu as envie de dire…
Etre la personne que tu as envie d’être…

Le reste ne t’appartenant pas, il resterait simplement à faire ta part…

Faire ce qui est juste pour toi en cet instant précis.


Et respirer. 

Apprendre à lâcher-prise, à s’abandonner

Apprendre à lâcher-prise, à s’abandonner

Souvent en séance de soin énergétique, j’invite les personnes qui viennent me voir à reprendre contact avec l’eau. 

A aller nager et surtout, à faire la planche.
A flotter.


Se laisser flotter, pour de nombreuses personnes, est assez difficile (et je sais de quoi je parle, j’ai mis de nombreuses années à y arriver !).

Lorsque l’on vit dans sa tête, que l’on se retrouve prisonnier de ses pensées, que nous séparons notre tête de notre corps et qu’il nous est devenu difficile de faire confiance à ce dernier,  s’abandonner, c’est comme courir un danger de mort. Alors on résiste. Mais c’est la résistance qui nous tue de l’intérieur. C’est douloureux de résister. L’abandon, lui, libère. L’abandon soulage.

Si on se crispe, on coule.
Si on se détend, on flotte…

C’est à travers la détente du corps, à travers la relaxation que tout se dénoue, que les solutions arrivent, que tout s’apaise.

Une fois relâchés, relaxés, on peut laisser nos émotions nous traverser.
On peut laisser la vie circuler en nous.
Puis ressentir la paix. 

C’est aussi l’expérience que je vous amène à ressentir lors des séances de soins énergétiques que je vous propose. Ressentir ce lâcher-prise, ressentir cette relaxation profonde, ressentir cette paix en vous. 

Poème – Tu mérites un amour de Frida Kahlo

Poème – Tu mérites un amour de Frida Kahlo

Tu mérites un amour…

Tu mérites un amour décoiffant, qui te pousse à te lever rapidement le matin, et qui éloigne tous ces démons qui ne te laissent pas dormir.

Tu mérites un amour qui te fasse te sentir en sécurité, capable de décrocher la lune lors qu’il marche à tes côtés, qui pense que tes bras sont parfaits pour sa peau.

Tu mérites un amour qui veuille danser avec toi, qui trouve le paradis chaque fois qu’il regarde dans tes yeux, qui ne s’ennuie jamais de lire tes expressions.

Tu mérites un amour qui t’écoute quand tu chantes, qui te soutiens lorsque tu es ridicule, qui respecte ta liberté, qui t’accompagne dans ton vol, qui n’a pas peur de tomber.

Tu mérites un amour qui balayerait les mensonges et t’apporterait le rêve, le café et la poésie.

 

Frida Kahlo

 

Tu n’as rien à faire de particulier pour être aimé.

Citations spirituelles sur les relations

Quand une personne vous fait souffrir, c’est parce qu’elle souffre profondément à l’intérieur d’elle-même, et sa souffrance déborde. Elle n’a pas besoin de punition, elle a besoin d’aide. C’est le message qu’elle envoie.

Thich Nhat Hanh

Ce que la terre et l’univers a décidé de réunir, rien ni personne ne pourra s’y opposer. Quand deux âmes se sont données rendez-vous, tôt ou tard elles se rencontrent. Ce qui est prévu sur un autre plan ne peut échouer sur le plan terrestre, ce n’est qu’une question de temps. Le hasard n’existe pas, ce ne sont que des rendez-vous programmés à l’avance.

Christine Gonzalez

Un fil invisible relie ceux qui sont destinés à se rencontrer, peu importe le temps, l’endroit, ou les circonstances. Ce fil peut s’étirer ou s’emmêler. Mais il ne se brisera jamais.

Sagesse chinoise

Je crois bien que c’est ça le vrai amour : avoir l’impression d’être dans sa vie, pas à côté. Au bon endroit. Ne pas avoir besoin de se forcer, de se tortiller pour plaire à l’autre, rester comme on est.

Katherine Pancol

Un véritable partenaire ou ami est celui qui vous encourage à regarder au plus profond de vous-même pour la beauté et l’amour que vous recherchez.

Thich Nhat Hanh

Quand on aime quelqu’un, on a envie de tout partager avec lui. Il est donc de votre devoir de dire : « Je souffre et je veux que vous le sachiez » – et il l’appréciera, elle l’appréciera.

Thich Nhat Hanh

S’autoriser à éclore

S’autoriser à éclore

Pouvez-vous vous permettre de voir la beauté se dégageant lorsque l’on décide de s’autoriser à éclore ? Vous autoriser à voir l’amour et la beauté en vous-même, vous laisser regarder l’autre à travers ces mêmes yeux, libérant ainsi en cet autre cette même splendeur… ? 

 

Nous ne sommes pas si différents que nous pouvons le penser parfois…
Nous sommes tous faits de la même essence.
Tout ce que nous voyons en l’autre existe en nous. 
L’ombre comme la lumière.
Alors, lorsque nous nous autorisons à éclore et à irradier notre lumière, nous permettons aux autres d’en faire autant…
Qu’y a-t-il de plus beau que cela ? 🙂

 

Prenez du temps pour vous.
Revenir à l’intérieur de vous. 
Fermez les yeux.
Respirez.
Laissez vos pensées défiler. 
Devenez observateur. 
Accueillez les différentes émotions qui vous traversent. Autorisez-les d’exister. Laissez-les s’exprimer, puis s’en aller.
C’est ainsi que la paix peut s’installer. 😌
Dans cet espace silencieux, tout l’amour et la joie que vous cherchez peut jaillir et grandir en vous.

 

Redécouvrez, Savourez, Cultivez et Offrez ce qu’il y a de plus beau en vous 💐

Accepter, et choisir d’avancer

Accepter, et choisir d’avancer

Accepter est l’une des choses les plus puissantes (si ce n’est LA chose la plus puissante !) nous permettant d’être en paix avec nous-même et avec les autres.

Dans ma vie, j’ai une fâcheuse tendance à vouloir résister et contrôler encore beaucoup de choses, même si c’est de mieux en mieux :-).

Contrôler mon futur, contrôler mes sentiments, contrôler mes émotions, contrôler les réactions des autres, contrôler ce que l’on va penser de moi, contrôler le cours de ma vie …
Contrôler par peur. Et résister. Résister à ce qui m’appelle à grandir, résister à ce qui me fait envie, résister à regarder en face la vérité, résister à ce que mon coeur me dit. Repousser ses appels… par peur.

Je me considérais d’ailleurs encore jusqu’à peu comme une peur géante ^^. Alors que si je prends un instant pour regarder en arrière, je me dis que j’en ai fait du chemin !
(D’ailleurs, je vous recommande de le faire, de vous arrêter un instant de regarder le chemin parcouru. De le regarder avec un oeil bienveillant jusqu’à l’accepter de plus en plus et d’être fier de vous.)

Ma pratique de l’énergétique me conduit d’ailleurs à un lâcher-prise et un abandon total… Le faire pour les autres est naturel pour moi. En revanche cela m’apporte énormément à un niveau plus personnel. Mais ça, c’est un autre sujet :-).

Reprenons.

Je disais donc :

 

Contrôler et résister, que c’est épuisant !


Toute cette énergie dépensée à nous accrocher à quelque chose qu’en fait, nous ne maîtrisons absolument pas …
Je pensais inconsciemment qu’en contrôlant tout ça, j’allais pouvoir m’éviter bien des douleurs 🙂 Foutaises ! Ce qui est douloureux, c’est la résistance ! Ce qui est douloureux, ce sont toutes les histoires que nous sommes capables de nous raconter pour rester à la même place et pour que rien ne change.


Je n’ai JAMAIS été heureuse lorsque je cherchais à tout contrôler et résister. Je n’ai JAMAIS trouvé la plénitude en refusant de croître et de suivre mon coeur. 


Alors oui bien sûr, derrière ce mécanisme se cache la peur, se cache un programme de survie censé assurer notre protection. Mais nous avons le choix de lui donner raison ou non, de le laisser dicter notre vie, ou de faire autrement. Et il existe de nombreuses méthodes pour dépasser nos peurs. L’énergétique, la méditation, la visualisation, par exemple, le permettent. Vous pouvez venir en séances à ce sujet d’ailleurs.

 

Comment lâcher-prise et accepter ?



Toutes les fois où j’ai, par épuisement, lâché la barre, lâché le morceau, lâché la grappe, lâché prise, appelez ça comme vous voulez … c’est au contraire l’apaisement, la joie, la décontraction, la fierté et la plénitude que j’ai trouvé …

Nous ne sommes pas obligé d’attendre l’épuisement pour accepter. 


Alors comment faisons-nous pour lâcher le contrôle et accepter ? Nous le pouvons de plusieurs manières.
Mais, premièrement, nous le décidons. 

Puis nous respirons profondément, plusieurs fois. Nous relâchons tous les muscles de son corps, nous nous ouvrons, nous s’abandonnons à la vie avec la certitude que rien ne peut nous arriver de mauvais dans la décontraction. Au contraire. La clé est dans la décontraction, la relaxation.

 

Et nous écoutons nos résistances. Nous pouvons écrire aussi. Etre honnête avec soi-même. Regarder la vérité en face. Arrêter de se mentir. Ecouter ses peurs. Et y répondre avec bienveillance.

 

On accepte. On accepte que ce que l’on redoute puisse arriver, même si ce n’est pas ce que nous souhaitons bien entendu.
Mais accepter conduit à un lâcher-prise total.

 

Alors oui, quand on a l’habitude de contrôler et résister :

  • se relâcher et s’abandonner fait peur
  • prendre des risques fait peur
  • regarder la vérité en face fait peur
  • suivre ses élans du coeur font peur
  • aimer véritablement une(e) autre fait peur
  • plonger dans l’inconnu fait peur
  • Vivre, fait peur…

On croit inconsciemment que l’on va mourir !
Notre mental court un risque, un grave danger. Un danger de mort.
Et il n’a absolument pas envie de mourir le p’tit ^^ !
Mais à force, on peut y prendre goût, finir par trouver cela grisant, amusant, excitant ! Devenir curieux de ce que la vie nous réserve !

Et quand c’est trop difficile de lâcher-prise seul(e), on peut choisir de se faire accompagner dans le processus. 

Nous avons le choix, de résister ou de nous abandonner à la vie

 

Nous avons toujours le choix. Le choix de continuer de suivre la peur, de la laisser avoir le dernier mot, de faire taire nos envies, de faire taire nos élans du coeur et de rester à la même place.
Ou bien nous faisons le choix de vivre. Au risque de tout perdre, au risque que le pire puisse nous arriver. Choisir d’oser. NOUS choisir. Choisir de suivre nos élans du coeur, et de faire confiance que si ce sont des élans, ils ne sont pas là par hasard et surtout : ils se présentent à nous pour notre plus grand bien. Etre prêt, par respect et par amour pour soi, à regarder ses peurs en face et y aller quand même. Choisir le risque. Regarder la vérité en face, être honnête avec soi et accepter. Lâcher-prise et accepter.

 

Aucun choix n’est meilleur qu’un autre. Ils ne conduisent simplement à des chemins différents…

 

Je vous propose d’essayer quelque chose.


Respirez, détendez-vous et laissez revenir à vous un appel intérieur, une envie très forte, un élan ressenti vers l’inconnu ou vers une personne, ou même vers une décision que vous aviez à prendre (agréable ou désagréable) que vous avez eu, ressenti, et que vous avez suivi. Rappelez-vous ce qui s’est passé. Comment vous vous êtes senti. Avant, pendant et après avoir décidé. L’avez-vous regretté ?
Avez-vous reçu une vague de soulagement ? Une vague de paix ? 


Elle est là notre place. De l’autre côté de la peur.

Il y a quelques mois, j’ai sauté dans une de mes plus grandes peurs, mais aussi un de mes plus grands élans du coeur. J’en parlerais dans un autre article plus en détails.
Celle de prendre des billets d’avion (malgré ma terrible angoisse d’y être enfermée) et de partir seule 1 mois à l’autre bout du monde pour la première fois (malgré ma peur d’être angoissée sur place et de ne pas réussir à gérer).


Cela faisait DES ANNÉES que j’en rêvais et que j’en avais peur.


Et un pays m’appelait, je ne savais pas pourquoi mais il m’appelait. J’ai passé des années à me dire “cette année j’y vais, je le fais”, sans parvenir à franchir le pas. Mais le jour où je me suis lancée malgré ma peur immense, j’ai ressenti un soulagement, une joie, une fierté et surtout, un apaisement profond. La récompense était déjà là. J’avais déjà réussi. Et tout s’est passé merveilleusement bien …
Ce voyage a été une expérience magnifique.

Aujourd’hui, j’ai profondément validé une chose en moi : les élans de mon coeur me conduisent vers le meilleur pour moi, vers ce qui est bon pour moi. Je peux leur faire confiance. La croissance m’attend derrière. La joie aussi. Et le regret n’a pas sa place.

Je n’ai jamais regretté d’avoir suivi mon intuition, ma voix intérieure, mes élans… En revanche, j’ai regretté ceux que je n’avais pas écouté ou suivi. 

Et plus je suis mes élans, plus je suis ce que me souffle ma voix intérieure ou mon intuition – appelez-la comme vous voulez – et plus je peux me faire confiance pour lâcher-prise, pour lâcher le contrôle, pour m’abandonner à la vie … Car je sais que c’est juste pour moi. Que c’est la direction à suivre, même si c’est dur.

Il nous suffit d’accepter.
Et de nous accepter.

 

Et puis oser…

 

Oser regarder la réalité et l’accepter, même quand c’est dur.
Oser regarder nos parts d’ombres comme nos parts de lumière, les accepter, et mieux accepter celles des autres.
Oser regarder nos blessures, accepter de ne pas être celui ou celle que nous aurions voulu être. Et nous aimer malgré tout. Et aimer l’autre. Accepter ses blessures, et accepter celles de l’autre.

Accepter notre passé tel qu’il est. Et nous aimer quand même. Accepter le passé des autres, et les aimer malgré tout.
Accepter que nous ne pouvons pas maîtriser ni notre vie, ni celle des autres. Nous n’avons pas ce pouvoir là.
Accepter que nous ne connaissons pas l’avenir, mais que la vie a prévu le meilleur pour nous. Nous autoriser à laisser entrer dans notre vie le meilleur et souhaiter le meilleur pour les autres.

Mais aussi et surtout : accepter que le pire puisse arriver. Se sentir en paix avec ça.
Et lorsque l’on accepte que le pire puisse nous arriver, alors nous ne risquons plus rien …


Accepter, et s’abandonner à la vie. 

 

La vie veut ce qu’il y a de meilleur pour nous et ne nous appelle qu’à ça. 

Accepter, c’est se laisser guider par son intuition et agir à partir de ce qu’elle nous transmet comme information. Parce que l’on sait que ce qui nous attend derrière va être magnifique, que cela va être bon pour nous, aussi difficile soit le processus. 

Plus le risque est grand pour nous, plus difficile est la décision de lâcher.
Plus l’appel du coeur est grand, plus dur est le saut.
Mais ce qui est le plus douloureux, c’est d’y résister…

Savez-vous que seulement 8% de nos peurs sont fondées sur un danger réel ? Le reste n’est que le fruit de notre imagination, de nos programmes inconscients.

 

C’est un choix. Et nous avons toujours le choix. Le choix de résister, ou de sauter, de s’abandonner.
Libre à chacun de choisir. Aucun n’est meilleur qu’un autre.

Sachez cependant qu’un seul de ces choix conduit à la croissance, à l’évolution, à la paix et à la joie. Vous savez lequel :-).

 

***

Alors, que souhaitez-vous faire à présent ? Qu’avez-vous besoin d’accepter dans votre vie en ce moment ? A quoi résistez-vous en ce moment et de quoi avez-vous peur ?

Oser écouter son intuition même quand ça fait peur

Parfois on a l’impression de courir un grave danger dans sa vie, si on se lance dans quelque chose qui nous attire et nous fait terriblement peur à la fois. L’inconnu, l’incertain, le non-maitrisé. Et pourtant. Nous ne savons pas alors à ce moment là que la vie nous soutient parfaitement, et que nous pouvons faire entièrement confiance à notre voix intérieure, celle de la pure conscience, la voix de l’intuition, qui souhaite notre plus grand bien. Si nous osons ouvrir les bras et nous lancer dans l’aventure que notre intuition nous propose, nous découvrons, non pas que le chaos nous attend, mais au contraire, une paisible paix, une profonde joie et satisfaction nous envahi. Ce qui est au contraire inconfortable et douloureux, c’est la lutte que nous entretenons avec nous-même, la lutte allant contre notre voix intérieure. Là est le réel danger, là est la réelle douleur. 

Je peux vous dire que je connais parfaitement bien cette douleur là, ainsi que le danger ressenti lorsque mon intuition me souffle une idée géniale, et que mon mental et mes peurs prennent le dessus essayant de m’empêcher d’agir dans le sens de mon coeur. Ce conflit est très douloureux. Et plus nous résistons, plus le tiraillement se fait fort. Plus l’inconfort est présent. Parce que votre coeur veut vous parler, veut vous transmettre absolument un message bon pour vous.

Et si je n’écoute pas mon intuition ?

Si nous ne l’écoutons pas, nous courrons vers la colère, les regrets, la tristesse… comme une petite mort, notre flamme intérieure commence à s’amenuiser/diminuer. Notre joie se fait moins présente, notre humeur se fait plus désagréable, notre corps se rigidifie et nous cause des douleurs ou des maladies. 

 

Comment faire alors pour suivre son coeur, pour faire parfois ce saut dans le vide en toute confiance ? Et c’est bien là la solution : la confiance. La foi que la vie vous soutient. La foi en la bienveillance de votre intuition.


1ère étape : 

La relaxation physique et mentale.
Un corps détendu permet aux pensées de diminuer également. La paix s’installe. L’ouverture se fait. 

 

2ème étape :

Ecouter son intuition.


3ème étape :

Lui faire confiance.
Clarifier les éventuelles étapes / actions à mettre en place.

 

4ème étape :

En profiter :-).
Vous pouvez être fiers de vous, à ce stade vous êtes joyeux et soulagés de vous être rendu compte que la seule chose qui vous attendait n’était que du bonheur 🙂

Croire en soi

Celui qui ose avoir un projet dans la vie et ose tout laisser tomber pour vivre sa Légende Personnelle, finira par réussir.

L’important est de garder le feu dans le cœur, et d’avoir la force de caractère pour surmonter les moments difficiles.

Souvenez-vous : le désir qui est dans notre âme n’est pas venu du néant ;

Quelqu’un l’a mis là.

Et ce Quelqu’un, qui est pur amour et ne souhaite que notre bonheur,

fait cela uniquement parce qu’il nous a donné, avec le désir, les outils pour le réaliser.

~ Paulo Coelho

Dialogue avec la peur

La peur a beaucoup dirigé ma vie. Elle est très douée pour se faire passer pour moi.
La peur a beaucoup d’imagination aussi. Créer des scénarios catastrophes, proposer des excuses, parlementer, parler fort… Elle aime sa place et elle s’est donnée pour mission de garder son poste toute sa vie. Bravo, quelle détermination !

Oui mais, cette coloc’ intérieure, en fait, elle est un peu trop envahissante à mon goût.

Elle est bien sympa hein cette peur au fond, ses intentions sont, selon elle, très positives ! Je ne peux pas vraiment lui en vouloir… Elle oeuvre pour mon plus grand bien. Oui, en fait la peur oeuvre pour me protéger, pour qu’il ne m’arrive pas. Si je reste là, bien au chaud, tranquille à la même place, tout ira bien. Comme ça, je ne risque rien. Elle voudrait que rien ne change surtout. Trop dangereux. La peur a enregistré par le passé un programme de protection en cas de danger. C’était utile avant, quand j’étais enfant. Mais aujourd’hui, ça ne l’est plus. 
“Ouf, on a eu chaud, on a échappé à la catastrophe, tu as failli être heureuse ! “ Et elle est tellement bavarde, qu’à force de l’entendre, je crois qu’elle a raison.

“Non mais oui, c’est une mauvaise idée, je ne le fais pas / je ne le dis pas / je reste là, c’est mieux”.


Mais, tu veux me protéger de quoi en fait ? De la vie ? De ce qui me fait vibrer quand j’y pense, de ce qui me remplit le coeur, de cet élan qui m’appelle, de ce qui est doux, léger et simple et clair ? 

 

Aaaah mais en fait tu penses qu’on va mourir toutes les deux si tu disparais ? Si je ne te laisse plus aux commandes ?
Et bien non, tout ça n’est qu’un leurre. Enfin si, toi tu penses que tu vas mourir, mais moi non.
Moi je vais enfin vivre. Je n’attends que ça en fait. Mais ne t’inquiètes pas, la peur, si tu veux, poses-toi à côté, regarde le paysage, mais c’est décidé, maintenant, c’est moi qui conduis. 

 

Moi ? Mais c’est qui du coup, moi ? Moi, c’est la conscience qui observe. La voix qui sait. Celle qui est calme, tranquille, et elle ne fait pas de longs discours. Elle va à l’essentiel, sans détour. La voix très calme et direct à l’intérieur. La voix de l’intuition quoi. 

 

Vous connaissez ce conflit interne, ce tiraillement, ce quelque chose qui vous fait dire “c’est par ici, viens ça va être génial !” puis à la seconde d’après, l’autre voix qui vous dit “mais non n’importe quoi, la mauvaiiiiise idée ! C’est hyper dangereux, tu ne te rends pas compte tu pourrais te faire rejeter, te faire abandonner, juger… tu pourrais finir seule, au fond du trou, ce serait horrible !”. 

 

Alors on fait quoi ? Bah, on oublie bien sûr. On oublie l’idée géniale, l’envie qui transporte !

On préfère choisir ce qui fait mal au ventre, que choisir ce qui nous rend léger.

Tout ça pour un leurre ? 

 

Nous sommes ici pour vivre

 

J’vous le dis, on n’est pas ici pour souffrir. On est ici pour vivre, pour expérimenter la vie, à notre manière. Offrir ce qui souhaite se manifester en nous. Exprimer notre voix, nos talents… Nous amuser, rire !

 

Au pire, que risque-t-on ?

 

Au pire, on meurt.

Et quand on est ok que le pire puisse arriver, on est libéré, et on peut enfin, en profiter.

Oser se lancer

Ces derniers temps, on m’a souvent dit que j’étais courageuse. 

Courageuse parce que j’ai pris un billet d’avion pour voyager seule à l’autre bout du monde, alors que j’en rêvais depuis des années, la peur au ventre ; 

Courageuse d’avoir changé de voie professionnelle pour me lancer dans des activités différentes ; 

Ou bien aussi parce que je suis repartie 2 fois de zéro dans de nouvelles villes lancer mes activités et que cela apporte de nouveaux défis pas toujours évidents à vivre.

 

Mais à chaque fois que l’on m’en parle, j’ai cet étonnement. Du courage ? Ah bon ? Mais pourquoi du courage ? Je n’y pense pas vraiment, tellement c’est évident pour moi d’oser se lancer et d’y aller à un moment donné. C’est plutôt une histoire de volonté.
Il est pour moi tellement plus difficile et douloureux de rester dans une situation qui ne nous convient pas et qui va à l’encontre de nos aspirations et de notre coeur. Mais c’est bien sûr, tout à fait personnel.

En effet, on peut avoir peur de pleins de choses :

Peur d’oser se lancer dans un nouveau projet, peur d’oser se lancer dans une nouvelle relation, peur d’oser se lancer dans une nouvelle activité… peur de quitter une situation pour une autre.

Oser se lancer fait appel à nos blessures profondes. Nos peurs du rejet, de l’abandon, du jugement …

 

Oser se lancer : à son rythme


Souvent aussi, il est juste question de timing et de rythme. Il est important de s’écouter et de se respecter à travers cela.


Pour oser se lancer, nous pouvons avoir besoin d’y aller graduellement, de franchir certaines étapes et d’y aller à son rythme. Chacun à son rythme. Mais d’y aller quand même, pas à pas.
De se dire oui, et de poser les premières étapes à franchir. 

A la clé, c’est tellement de bonheur et de fierté personnelle. Rien de tel pour gagner confiance en soi et en estime de soi :-). 

 

Oser se lancer donne confiance en soi

Oui, se lancer fait peur (et la peur, c’est une émotion que je connais très très bien 🙂 ), oui se lancer peut donner le vertige, oui c’est inconfortable, oui cela fait ressortir blessures, fragilités, peurs… : beaucoup de choses enfouies jusqu’alors.


Mais malgré les difficultés, les moments de doutes, les craintes, les jugements ou la pression…, pas une seule fois je n’ai regretté mes choix.


Le bonheur, la joie et l’apaisement de se sentir à sa place, d’être au bon endroit, d’avoir respecté le désir de sa petite voix interne vaut largement tout cela.


Et lorsque l’on suit son coeur, on rencontre aussi sur sa route des personnes qui croient en nous, qui nous soutiennent, qui nous encouragent. Et c’est un sacré moteur en plus pour nous aider à continuer et à croire davantage en nous. 

 

 ***

Et vous alors, qui avez-vous envie de suivre ? La voix de vos peurs, ou celle de votre coeur ? 🙂

 

A propos

accompagnement adultes surdoués hypersensibles zèbres haut potentiel et soins energetiques Reiki et magnétisme Paris Flavie Arnou

Bonjour !
Je suis Flavie Arnou, thérapeute.
Il me tient à coeur de vous accompagner vers votre mieux-être de manière holistique à travers le coaching, le reiki en soins énergétiques, le Yoga Nidra, la méditation et la PNL.

Egalement coach pour adultes hypersensibles, « zèbres », « surdoués », dits « à haut potentiel », je vous propose un accompagnement ayant pour objectif de vous aider à devenir la personne que vous êtes vraiment au fond de vous.
Se comprendre – s’accepter – gérer ses émotions et ses pensées envahissantes – optimiser sa surefficience.

*

Devenir soi chaque jour un peu plus.

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Comment gérer la colère ?

Comment gérer la colère ?

Ne vous arrive-t-il pas parfois de réactiver une émotion telle que la colère, d’avoir la nette sensation qu’elle est énorme et que si vous la laissiez sortir de vous, vous pourriez faire des ravages autour de vous ? De ressentir une envie de tout casser ? De crier de toutes vos forces ?

Ne vous arrive-t-il pas aussi parfois que cette colère, apparemment gigantesque, qui vous ronge de l’intérieur et semble si puissante, vous fasse vraiment peur ?

 

Contrôle, quand tu nous tiens !

 

Impossible alors d’exprimer sa colère et la laisser sortir. Ou alors un peu, par petits bouts. Ou alors elle explose, et vous avez la sensation de ne plus rien contrôler.

Peut-être même vous arrive-t-il de vous dire que cette colère, présente depuis si longtemps mettrait des semaines, des mois ou des années à s’envoler.

La colère vous est tellement désagréable que vous faites tout pour ne pas la ressentir, pour l’esquiver, pour la retenir… Et pourtant, en faisant cela, c’est tout l’inverse qui se produit.

 

Aaaaah le contrôle !! Nous sommes parfois tellement forts pour nous faire croire tout et n’importe quoi 🙂 !

 

REGARDER SES ÉMOTIONS AUTREMENT

 

Et si finalement, vous décidiez de regarder vos émotions autrement.

Et si au lieu de regarder l’ensemble de vos émotions comme des émotions positives ou des émotions négatives, vous les regardiez comme des émotions agréables ou désagréables, et comme des émotions tout court.

Mon émotion, quelle qu’elle soit, est juste une émotion.

Cela fait-il une différence pour vous ? Comment vous sentez-vous dans votre corps à la lecture de ces différences ?

 

SE PLACER EN OBSERVATEUR

 

L’idée serait finalement de se placer en observateur, en témoin.
De prendre du recul.
Et donc de regarder ses émotions sans leur prêter un quelconque jugement.

Regarder ses émotions comme des indications, comme des signaux intuitifs :

“Ok, je me sens détendu et joyeux, je suis dans la direction qui me convient.”,

“Hmmm ça me met en colère. Je respire. Ok, c’est juste signe que quelque chose ne colle pas avec mes envies, mes besoins, mes valeurs.”

Je récupère l’info, j’en prends note et je réagis en conséquence (dans le sens de mes valeurs et besoins. Cela signifie donc éventuellement, dire non et poser mes limites, connaître mes valeurs et ce qui est important pour moi).

Lorsque l’on regarde ses émotions, sans s’y attacher, sans les juger, sans chercher à les contrôler ni à les retenir, sans croire qu’elles nous définissent en tant que personne, il se passe quelque chose de tout à fait étonnant :

 

l’émotion disparaît !

elle n’a plus tant d’importance que ça.

 

Parfois, une vieille blessure se réactive suite à la réflexion de son conjoint / de sa conjointe, de son enfant, d’un ami, d’un collègue ou collaborateur… ou simplement d’une personne que l’on croise.

Alors, on se crispe, on se tend, on s’énerve, on se retient et on s’accroche encore à sa colère, on a peur qu’elle explose, que l’autre ne nous aime plus, que l’autre nous rejette… ce qui lui fait finalement prendre encore plus d’ampleur.

 

La colère prend de l’importance quand on la retient

 

Oui, la colère prend de l’importance lorsqu’on la retient, lorsque son message n’est pas entendu. Lorsque l’on n’écoute pas ce qu’elle a à nous dire.
Oui parce que finalement, on l’oublie dans ces moments là, mais l’émotion est là pour nous dire quelque chose !

C’est tout.

Elle a juste quelque chose à dire.

C’est tout.

“Eh oh !” “Tu m’entends ? Ca ne colle pas là !”

Nous ne faisons, dans ces moments là que nous tourner sur l’extérieur. C’est à dire, sur la personne en face de nous (celle qui apparement nous énerve), ou bien sur une situation qui nous rend dingue.

Jusqu’à l’explosions parfois.

On oublie d’écouter.
On oublie de s’écouter.

Cela peut durer des heures !
Cela peut nous prendre la tête longtemps !

Et voilà qu’on rumine, qu’on s’agace, qu’on retourne la situation dans tous les sens…

 

SE RELÂCHER

 

Je vous propose de changer de regard. Que vous vous vous placiez en observateur.
Et si vous preniez un peu de recul, un peu de hauteur, et observiez cette émotion.

Que vous la regardiez comme une émotion comme une autre.

Parce que vous avez le droit, en fait, de ressentir de la colère.
La colère, c’est une émotion comme une autre.

La colère a le droit de se manifester en vous.

Quand de la colère se manifeste, elle a un message à vous transmettre.

Cela pourrait donner quelque chose comme :

“Ok, je ressens de la colère. Ok. Je respire. J’ai le droit de ressentir cette colère. Je la laisse me traverser. Je respire. Je la laisse passer. Je détends mon corps, je me relâche. Je respire, je souffle. Ok, qu’as-tu à me dire ?”

Lorsque je détends et relâche mon corps, lorsque je décrispe mes muscles, l’émotion s’en va. Elle a été vue, reconnue, prise en compte.

Je peux alors écouter le message et regarder la situation avec recul.

L’émotion est là pour nous dire quelque chose, c’est aussi simple que cela.

Parfois aussi, la colère réactive un vieux dossier, qui n’a plus lieu d’être aujourd’hui. Alors, pourquoi ne pas simplement le laisser partir dans quelques respirations ?

 

ÊTRE HONNÊTE AVEC SOI-MÊME

 

Finalement, si on décide d’écouter le message de sa colère, on est alors simplement dans l’honnêteté vis à vis de soi-même.
Si je suis vraiment honnête avec moi… que se passe-t-il ?

Je reconnaîtrais alors, que :

  • dans cette situation là (la détailler)
  • je ressens de la colère / de la haine / de la rage / de l’énervement / de l’irritation / de l’agacement etc.
  • j’ai besoin de (me sentir en sécurité, confiance, joie, respect, d’agir etc. etc.)
  • pour remédier à cela … (soit : je prends conscience de ce que je souhaite demander à l’autre, soit : je trouve la solution et j’agis en fonction si cela ne concerne que moi)

Finalement, nous retrouvons ici les 4 étapes de la communication non violente (CNV).

Lorsque je suis honnête avec moi-même, lorsque je m’écoute sincèrement, sans me juger, juste en observant ce qui se passe, en observant les faits, je peux aussi l’être avec les autres.

Et donc cela signifie que je peux communiquer d’une façon bien plus efficace et respectueuse.

 

Communiquer clairement


Lorsque je communique clairement, je peux à la fois me faire comprendre, être écouté, et respecter mes besoins, mais aussi amener l’autre à reconnaître une situation qui ne lui convient pas, l’aider à exprimer ses sentiments, ses besoins, afin qu’il trouve les solutions correspondantes.

Et puis, si je ne vois aucun problème à ressentir de la colère, j’autoriserais aussi l’autre sans m’en rendre compte à ressentir la sienne.

Je ne vous apprends rien si je vous dis qu’une communication claire, respectueuse et sincère rend nos relations bien plus belles… Ce n’est pas toujours facile, je vous l’accorde, mais avec de l’entraînement, on peut s’améliorer 🙂.

Dans tous les cas, je vous invite à mettre tout cela en pratique la prochaine fois que vous ressentirez de la colère.
N’hésitez-pas d’ailleurs à me partager ce que cela aura changé pour vous et autour de vous !

Et si vous souhaitez expérimenter tout cela avec un soutien, aller plus loin, faire le tri dans les émotions qui restent bloquées en vous, je suis bien sûr là pour vous accompagner.

Il vous suffit de me contacter par ici.

 

Dans tous les cas, bonnes expérimentations et bonne libération 🙂 !!!

 

A propos

accompagnement adultes surdoués hypersensibles zèbres haut potentiel et soins energetiques Reiki et magnétisme Paris Flavie Arnou

Flavie Arnou, Energéticienne à Nantes et à distance, il me tient à coeur de vous accompagner vers votre bien-être physique, mental et émotionnel.
Retrouvez l’apaisement, le relâchement, la confiance et bien d’autres choses encore.

J’accompagne également les adultes hypersensibles et au profil atypique (surdoués, zèbres, HP, surefficients…) vers le changement et la réalisation de leurs objectifs personnels et professionnels.

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Devenir soi, chaque jour un peu plus.

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Mal de dos : symbolique de la sciatique, l’hernie discale …

Mal de dos : symbolique de la sciatique, l’hernie discale …

Symbolique du Mal de dos : sciatique, hernie discale, lumbago …

Quel est le sens caché de la sciatique, de l’hernie discale… des problèmes de dos ?

 

Sciatique, dorsalgie, lombalgie, hernie discale, lumbago… ces différents problèmes de dos que nous connaissons de plus en plus. Douleurs réelles et physiques, il est néanmoins intéressant de noter que bien souvent, nos douleurs seraient l’expression de nos émotions. En regardant et comprenant la racine de nos maux et en la transformant, bien souvent, nos maux disparaissent et/ou s’atténuent également…
Différentes symboliques à prendre avec discernement mais qui peuvent vous aiguiller quant à ce que votre corps chercherait à vous communiquer. 

 

 

Sciatique

Contrairement au lumbago qui concerne un ressenti global ressenti sur une « zone », la sciatique est une douleur de trajet ressenti de la colonne vertébrale jusqu’à l’orteil et indique un ressenti précis.
La sciatique exprime souvent une difficulté à abandonner, à évacuer d’anciens schémas lors de périodes de changements (dans sa vie de couple, familiale, personnelle, professionnelle ou sa situation géographique).

 

 

Hernie discale

L’hernie discale peut concerner un conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien.
L’hernie discale concerne souvent le besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide et du soutien.
Il est possible que lorsqu’une hernie discale se déclare, nous nous trouvions dans une situation dans laquelle nous nous sentons coincé, prisonnier, tiraillé entre deux choses importantes pour nous mais où l’on reste par peur. 

 

Lumbago

Le lumbago correspond à des douleurs et tensions localisées dans le bas du dos, au niveau des vertèbres lombaires. Au nombre de 5, ces vertèbres correspondent au cinq plans basiques de la vie d’une personne, soit :

  • le couple
  • la famille
  • le travail
  • la maison
  • le pays

Le lumbago peut se manifester durant une période de changements, lorsque ceux-ci ont des difficultés à être accepté. Nos repères et habitudes s’en trouvent alors bouleversés et cela peut engendrer crispations et nervosité.

Contrairement à la sciatique qui est une douleur de « trajet » dont le ressenti est précis, allant de la colonne vertébrale jusqu’à l’orteil, le lumbago est une douleur de « zone » évoquant un ressenti global.

 

 

Sources & inspirations :  livres de Lise Bourbeau, Michel Odoul, Jacques Martel, Claudia Rainville et Philippe Dransart

 

Problèmes de peau signification psychologique

Problèmes de peau signification psychologique

Signification psychologique des problèmes de peau.

 

Quel est le lien entre nos émotions et les maladies et douleurs corporelles ?

A l’origine, les maladies de peau proviennent souvent d’un conflit de séparation mal géré. Que cela soit une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou bien la séparation envers soi-même. Cela engendre des comportements tels que de la dévalorisation de soi vis-à-vis des autres et de l’entourage proche, porter trop d’attention au regard des autres, à ce que les autres peuvent penser de soi.

Voilà des pistes de significations psychologiques que les problèmes de peau suivants traduisent.

 

Eczéma

Anxiété, peur de l’avenir, difficultés à s’exprimer.

Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété.

Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher.

Chez les enfants, l’eczéma peut résulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ». Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi. Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.

 

Acné 

Manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas.

Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence.

Honte des transformations corporelles.

Difficulté à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe.

 

Psoriasis 

Personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre.

Besoin de se sentir parfait pour être aimé.

Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation.

Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau.

Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.

 

 

 

Extraits tirés du livre de Jacques Martel « Le Grand dictionnaire des maladies ».