Ces derniers temps, on m’a souvent dit que j’étais courageuse.
Courageuse parce que j’ai pris un billet d’avion pour voyager seule à l’autre bout du monde, alors que j’en rêvais depuis des années, la peur au ventre ;
Courageuse d’avoir changé de voie professionnelle pour me lancer dans des activités différentes ;
Ou bien aussi parce que je suis repartie 2 fois de zéro dans de nouvelles villes lancer mes activités et que cela apporte de nouveaux défis pas toujours évidents à vivre.
…
Mais à chaque fois que l’on m’en parle, j’ai cet étonnement. Du courage ? Ah bon ? Mais pourquoi du courage ? Je n’y pense pas vraiment, tellement c’est évident pour moi d’oser se lancer et d’y aller à un moment donné. C’est plutôt une histoire de volonté. Il est pour moi tellement plus difficile et douloureux de rester dans une situation qui ne nous convient pas et qui va à l’encontre de nos aspirations et de notre coeur. Mais c’est bien sûr, tout à fait personnel.
En effet, on peut avoir peur de pleins de choses :
Peur d’oser se lancer dans un nouveau projet, peur d’oser se lancer dans une nouvelle relation, peur d’oser se lancer dans une nouvelle activité… peur de quitter une situation pour une autre.
Oser se lancer fait appel à nos blessures profondes. Nos peurs du rejet, de l’abandon, du jugement …
Oser se lancer : à son rythme
Souvent aussi, il est juste question de timing et de rythme. Il est important de s’écouter et de se respecter à travers cela.
Pour oser se lancer, nous pouvons avoir besoin d’y aller graduellement, de franchir certaines étapes et d’y aller à son rythme. Chacun à son rythme. Mais d’y aller quand même, pas à pas. De se dire oui, et de poser les premières étapes à franchir.
A la clé, c’est tellement de bonheur et de fierté personnelle. Rien de tel pour gagner confiance en soi et en estime de soi :-).
Oser se lancer donne confiance en soi
Oui, se lancer fait peur (et la peur, c’est une émotion que je connais très très bien 🙂 ), oui se lancer peut donner le vertige, oui c’est inconfortable, oui cela fait ressortir blessures, fragilités, peurs… : beaucoup de choses enfouies jusqu’alors.
Mais malgré les difficultés, les moments de doutes, les craintes, les jugements ou la pression…, pas une seule fois je n’ai regretté mes choix.
Le bonheur, la joie et l’apaisement de se sentir à sa place, d’être au bon endroit, d’avoir respecté le désir de sa petite voix interne vaut largement tout cela.
Et lorsque l’on suit son coeur, on rencontre aussi sur sa route des personnes qui croient en nous, qui nous soutiennent, qui nous encouragent. Et c’est un sacré moteur en plus pour nous aider à continuer et à croire davantage en nous.
***
Et vous alors, qui avez-vous envie de suivre ? La voix de vos peurs, ou celle de votre coeur ? 🙂
A propos
Bonjour ! Je suis Flavie Arnou, thérapeute. Il me tient à coeur de vous accompagner vers votre mieux-être de manière holistique à travers le coaching, le reiki en soins énergétiques, le Yoga Nidra, la méditation et la PNL.
Egalement coach pour adultes hypersensibles, « zèbres », « surdoués », dits « à haut potentiel », je vous propose un accompagnement ayant pour objectif de vous aider à devenir la personne que vous êtes vraiment au fond de vous. Se comprendre – s’accepter – gérer ses émotions et ses pensées envahissantes – optimiser sa surefficience.
Ne vous arrive-t-il pas parfois de réactiver une émotion telle que la colère, d’avoir la nette sensation qu’elle est énorme et que si vous la laissiez sortir de vous, vous pourriez faire des ravages autour de vous ? De ressentir une envie de tout casser ? De crier de toutes vos forces ?
Ne vous arrive-t-il pas aussi parfois que cette colère, apparemment gigantesque, qui vous ronge de l’intérieur et semble si puissante, vous fasse vraiment peur ?
Contrôle, quand tu nous tiens !
Impossible alors d’exprimer sa colère et la laisser sortir. Ou alors un peu, par petits bouts. Ou alors elle explose, et vous avez la sensation de ne plus rien contrôler.
Peut-être même vous arrive-t-il de vous dire que cette colère, présente depuis si longtemps mettrait des semaines, des mois ou des années à s’envoler.
La colère vous est tellement désagréable que vous faites tout pour ne pas la ressentir, pour l’esquiver, pour la retenir… Et pourtant, en faisant cela, c’est tout l’inverse qui se produit.
Aaaaah le contrôle !! Nous sommes parfois tellement forts pour nous faire croire tout et n’importe quoi 🙂 !
REGARDER SES ÉMOTIONS AUTREMENT
Et si finalement, vous décidiez de regarder vos émotions autrement.
Et si au lieu de regarder l’ensemble de vos émotions comme des émotions positives ou des émotions négatives, vous les regardiez comme des émotions agréables ou désagréables, et comme des émotions tout court.
Mon émotion, quelle qu’elle soit, est juste une émotion.
Cela fait-il une différence pour vous ? Comment vous sentez-vous dans votre corps à la lecture de ces différences ?
SE PLACER EN OBSERVATEUR
L’idée serait finalement de se placer en observateur, en témoin. De prendre du recul. Et donc de regarder ses émotions sans leur prêter un quelconque jugement.
Regarder ses émotions comme des indications, comme des signaux intuitifs :
“Ok, je me sens détendu et joyeux, je suis dans la direction qui me convient.”,
“Hmmm ça me met en colère. Je respire. Ok, c’est juste signe que quelque chose ne colle pas avec mes envies, mes besoins, mes valeurs.”
Je récupère l’info, j’en prends note et je réagis en conséquence (dans le sens de mes valeurs et besoins. Cela signifie donc éventuellement, dire non et poser mes limites, connaître mes valeurs et ce qui est important pour moi).
Lorsque l’on regarde ses émotions, sans s’y attacher, sans les juger, sans chercher à les contrôler ni à les retenir, sans croire qu’elles nous définissent en tant que personne, il se passe quelque chose de tout à fait étonnant :
l’émotion disparaît !
elle n’a plus tant d’importance que ça.
Parfois, une vieille blessure se réactive suite à la réflexion de son conjoint / de sa conjointe, de son enfant, d’un ami, d’un collègue ou collaborateur… ou simplement d’une personne que l’on croise.
Alors, on se crispe, on se tend, on s’énerve, on se retient et on s’accroche encore à sa colère, on a peur qu’elle explose, que l’autre ne nous aime plus, que l’autre nous rejette… ce qui lui fait finalement prendre encore plus d’ampleur.
La colère prend de l’importance quand on la retient
Oui, la colère prend de l’importance lorsqu’on la retient, lorsque son message n’est pas entendu. Lorsque l’on n’écoute pas ce qu’elle a à nous dire. Oui parce que finalement, on l’oublie dans ces moments là, mais l’émotion est là pour nous dire quelque chose !
C’est tout.
Elle a juste quelque chose à dire.
C’est tout.
“Eh oh !” “Tu m’entends ? Ca ne colle pas là !”
Nous ne faisons, dans ces moments là que nous tourner sur l’extérieur. C’est à dire, sur la personne en face de nous (celle qui apparement nous énerve), ou bien sur une situation qui nous rend dingue.
Jusqu’à l’explosions parfois.
On oublie d’écouter. On oublie de s’écouter.
Cela peut durer des heures ! Cela peut nous prendre la tête longtemps !
Et voilà qu’on rumine, qu’on s’agace, qu’on retourne la situation dans tous les sens…
SE RELÂCHER
Je vous propose de changer de regard. Que vous vous vous placiez en observateur. Et si vous preniez un peu de recul, un peu de hauteur, et observiez cette émotion. Que vous la regardiez comme une émotion comme une autre. Parce que vous avez le droit, en fait, de ressentir de la colère. La colère, c’est une émotion comme une autre.
La colère a le droit de se manifester en vous.
Quand de la colère se manifeste, elle a un message à vous transmettre.
Cela pourrait donner quelque chose comme :
“Ok, je ressens de la colère. Ok. Je respire. J’ai le droit de ressentir cette colère. Je la laisse me traverser. Je respire. Je la laisse passer. Je détends mon corps, je me relâche. Je respire, je souffle. Ok, qu’as-tu à me dire ?”
Lorsque je détends et relâche mon corps, lorsque je décrispe mes muscles, l’émotion s’en va. Elle a été vue, reconnue, prise en compte.
Je peux alors écouter le message et regarder la situation avec recul.
L’émotion est là pour nous dire quelque chose, c’est aussi simple que cela.
Parfois aussi, la colère réactive un vieux dossier, qui n’a plus lieu d’être aujourd’hui. Alors, pourquoi ne pas simplement le laisser partir dans quelques respirations ?
ÊTRE HONNÊTE AVEC SOI-MÊME
Finalement, si on décide d’écouter le message de sa colère, on est alors simplement dans l’honnêteté vis à vis de soi-même. Si je suis vraiment honnête avec moi… que se passe-t-il ?
Je reconnaîtrais alors, que :
dans cette situation là (la détailler)
je ressens de la colère / de la haine / de la rage / de l’énervement / de l’irritation / de l’agacement etc.
j’ai besoin de (me sentir en sécurité, confiance, joie, respect, d’agir etc. etc.)
pour remédier à cela … (soit : je prends conscience de ce que je souhaite demander à l’autre, soit : je trouve la solution et j’agis en fonction si cela ne concerne que moi)
Finalement, nous retrouvons ici les 4 étapes de la communication non violente (CNV).
Lorsque je suis honnête avec moi-même, lorsque je m’écoute sincèrement, sans me juger, juste en observant ce qui se passe, en observant les faits, je peux aussi l’être avec les autres.
Et donc cela signifie que je peux communiquer d’une façon bien plus efficace et respectueuse.
Communiquer clairement
Lorsque je communique clairement, je peux à la fois me faire comprendre, être écouté, et respecter mes besoins, mais aussi amener l’autre à reconnaître une situation qui ne lui convient pas, l’aider à exprimer ses sentiments, ses besoins, afin qu’il trouve les solutions correspondantes.
Et puis, si je ne vois aucun problème à ressentir de la colère, j’autoriserais aussi l’autre sans m’en rendre compte à ressentir la sienne.
Je ne vous apprends rien si je vous dis qu’une communication claire, respectueuse et sincère rend nos relations bien plus belles… Ce n’est pas toujours facile, je vous l’accorde, mais avec de l’entraînement, on peut s’améliorer 🙂.
Dans tous les cas, je vous invite à mettre tout cela en pratique la prochaine fois que vous ressentirez de la colère. N’hésitez-pas d’ailleurs à me partager ce que cela aura changé pour vous et autour de vous !
Et si vous souhaitez expérimenter tout cela avec un soutien, aller plus loin, faire le tri dans les émotions qui restent bloquées en vous, je suis bien sûr là pour vous accompagner.
Dans tous les cas, bonnes expérimentations et bonne libération 🙂 !!!
A propos
Flavie Arnou, Energéticienne à Nantes et à distance, il me tient à coeur de vous accompagner vers votre bien-être physique, mental et émotionnel. Retrouvez l’apaisement, le relâchement, la confiance et bien d’autres choses encore.
J’accompagne également les adultes hypersensibles et au profil atypique (surdoués, zèbres, HP, surefficients…) vers le changement et la réalisation de leurs objectifs personnels et professionnels.
Symbolique du Mal de dos : sciatique, hernie discale, lumbago …
Quel est le sens caché de la sciatique, de l’hernie discale… des problèmes de dos ?
Sciatique, dorsalgie, lombalgie, hernie discale, lumbago… ces différents problèmes de dos que nous connaissons de plus en plus. Douleurs réelles et physiques, il est néanmoins intéressant de noter que bien souvent, nos douleurs seraient l’expression de nos émotions. En regardant et comprenant la racine de nos maux et en la transformant, bien souvent, nos maux disparaissent et/ou s’atténuent également… Différentes symboliques à prendre avec discernement mais qui peuvent vous aiguiller quant à ce que votre corps chercherait à vous communiquer.
Sciatique
Contrairement au lumbago qui concerne un ressenti global ressenti sur une « zone », la sciatique est une douleur de trajet ressenti de la colonne vertébrale jusqu’à l’orteil et indique un ressenti précis. La sciatique exprime souvent une difficulté à abandonner, à évacuer d’anciens schémas lors de périodes de changements (dans sa vie de couple, familiale, personnelle, professionnelle ou sa situation géographique).
Hernie discale
L’hernie discale peut concerner un conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien. L’hernie discale concerne souvent le besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide et du soutien. Il est possible que lorsqu’une hernie discale se déclare, nous nous trouvions dans une situation dans laquelle nous nous sentons coincé, prisonnier, tiraillé entre deux choses importantes pour nous mais où l’on reste par peur.
Lumbago
Le lumbago correspond à des douleurs et tensions localisées dans le bas du dos, au niveau des vertèbres lombaires. Au nombre de 5, ces vertèbres correspondent au cinq plans basiques de la vie d’une personne, soit :
le couple
la famille
le travail
la maison
le pays
Le lumbago peut se manifester durant une période de changements, lorsque ceux-ci ont des difficultés à être accepté. Nos repères et habitudes s’en trouvent alors bouleversés et cela peut engendrer crispations et nervosité.
Contrairement à la sciatique qui est une douleur de « trajet » dont le ressenti est précis, allant de la colonne vertébrale jusqu’à l’orteil, le lumbago est une douleur de « zone » évoquant un ressenti global.
Sources & inspirations : livres de Lise Bourbeau, Michel Odoul, Jacques Martel, Claudia Rainville et Philippe Dransart
Signification psychologique des problèmes de peau.
Quel est le lien entre nos émotions et les maladies et douleurs corporelles ?
A l’origine, les maladies de peau proviennent souvent d’un conflit de séparation mal géré. Que cela soit une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou bien la séparation envers soi-même. Cela engendre des comportements tels que de la dévalorisation de soi vis-à-vis des autres et de l’entourage proche, porter trop d’attention au regard des autres, à ce que les autres peuvent penser de soi.
Voilà des pistes de significations psychologiques que les problèmes de peau suivants traduisent.
Eczéma
Anxiété, peur de l’avenir, difficultés à s’exprimer.
Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété.
Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher.
Chez les enfants, l’eczéma peut résulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ». Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi. Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.
Acné
Manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas.
Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence.
Honte des transformations corporelles.
Difficulté à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe.
Psoriasis
Personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre.
Besoin de se sentir parfait pour être aimé.
Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation.
Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau.
Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.
Extraits tirés du livre de Jacques Martel « Le Grand dictionnaire des maladies ».
Voici ici quelques citations d’Osho extrait du livre Le courage, la joie de vivre dangereusement que j’adore et souhaitais vous partager. Parce que ces citations me font du bien et correspondent au chemin que j’emprunte, j’espère qu’elles vous inspireront également :-). Bonne lecture !
« La bravoure est une île dans l’océan de la peur La peur est là. Pourtant, on prend le risque : c’est de la bravoure. On tremble, on a peur d’aller dans l’obscurité. Pourtant, on y va. En dépit de soi, on y va. Voilà ce que signifie être brave. Cela ne signifie pas que l’on n’a pas peur. Vous êtes plein de peur, mais la peur ne vous domine pas pour autant. La plus importante question se pose quand vous rencontrez l’amour. Alors, la peur s’empare de votre âme, parce qu’aimer signifie mourir, mourir en en l’autre. C’est une mort – et une mort bien plus profonde qu’une mort ordinaire. Dans la mort ordinaire, seul le corps meurt. Dans la mort de l’amour, l’égo meurt. Il faut beaucoup de cran pour aimer. Il faut être capable d’y aller en dépit de toutes les peurs qui vocifèrent autour de vous. Plus le risque est grand, plus la possibilité de croissance est grande. Ainsi, rien n’aide d’avantage un homme à grandir que l’amour. Les gens qui ont peur d’aimer restent infantiles; ils restent immatures, ils ne mûrissent pas. Ce n’est que le feu de l’amour qui vous fait mûrir. »
***
« La peur tue, elle veut tuer. La peur est destructrice. L’amour est une énergie créatrice. Quand vous aimez, vous voulez créer : vous aurez peut-être envie de chanter, de peindre ou d’écrire de la poésie. Vous ne voudrez pas prendre une baïonnette ou une bombe atomique et vous précipiter follement pour tuer de parfaits inconnus, des gens innocents, que vous ne connaissez pas plus qu’ils ne vous connaissent. Le monde ne laissera tomber les guerres que quand l’amour y entrera de nouveau. Les politiciens ne veulent pas que vous aimiez. La société ne veut pas que vous aimiez. La famille ne vous permet pas d’aimer. Ils veulent tous contrôler votre énergie d’amour, car c’est la seule énergie qui soit. C’est pourquoi il y a la peur. »
***
« Les gens veulent continuellement être dans une masse qui les cadrent. Au moment où vous vous comportez différemment, toute la masse devient suspicieuse. Quelque chose tourne mal. […] Dans cette société, on ne s’accepte pas soi-même. Tout le monde se condamne. C’est le style de vie de la société. […] La société ne tolère pas que quiconque se retire, car elle vit d’après les nombres : c’est une politique du nombre. Quand le nombre est élevé, le gens se sentent bien. Les nombres importants donnent l’impression aux gens d’être dans le juste. Ils ne peuvent pas se tromper : des millions de gens sont avec eux ! Et quand ils se retrouvent tout seuls, de grands doutes surgissent : personne n’est avec moi ! Quelle garantie ai-je d’avoir raison ? C’est pourquoi je dis que, dans ce monde, le plus grand courage c’est d’être un individu. »
***
« Tous les êtres humains sont pleins de peurs. Acceptez-le et au moment où vous l’accepterez l’ego disparaîtra, il n’aura plus de raison d’être. La peur n’est pas plus profonde que trente centimètres. Maintenant cela dépend de vous, vous pouvez rester accroché à la branche et fait de votre vie un enfer ou vous pouvez lâcher la branche et vous tenir sur vos jambes. Il n’y a rien à craindre. »
***
« Dans un monde meilleur, chaque famille apprendrait de ses enfants. Vous êtes tellement pressés de les instruire. Personne ne semble apprendre d’eux. Pourtant, ils ont beaucoup à vous enseigner. Vous n’avez rien à leur enseigner. Juste parce que vous êtes plus vieux et puissant, vous cherchez à ce qu’ils vous ressemblent, sans même penser à ce que vous êtes, à ce que vous avez atteint, à votre statut dans le monde intérieur. »
***
« Vivre dangereusement signifie vivre la vie comme si chaque instant était le dernier. Chaque moment a sa propre valeur intrinsèque et vous n’avez pas peur. Vous savez que la mort est là et vous acceptez le fait qu’elle soit là. N’oubliez jamais l’art du risque, jamais. Soyez toujours capable de risquer. Quand vous trouvez une occasion de prendre un risque, ne la ratez jamais. Vous ne serez jamais un perdant. Le risque est la seule garantie d’être vraiment vivant. »
***
« Quand un homme atteint un état absolument silencieux il rugit comme un lion. Pour la première fois il sait ce qu’est la liberté. Désormais il n’a plus aucune peur quant à l’opinion des autres. »
A propos
Flavie Arnou, praticienne en soins énergétiques (reiki & magnétisme), il me tient à coeur de vous accompagner vers votre bien-être physique, mental et émotionnel.
Egalement coach pour adultes « surdoués », dits « à haut potentiel », je vous propose un accompagnement ayant pour objectif de vous aider à devenir la personne que vous êtes vraiment au fond de vous.
Se comprendre – s’accepter – gérer ses émotions et ses pensées envahissantes – optimiser sa surefficience.
Seul un bilan psychologique réalisé par un psychologue formé pour cela permet de le déterminer (le WAIS IV).
Important à savoir, passer le WAIS IV ne sert pas uniquement à pouvoir affirmer « je suis surdoué« , mais permet surtout de mettre en avant un mode de fonctionnement différent, permet de mieux se connaître, de connaître ses forces ses faiblesses, de répondre à certaines de ses questions et de mieux comprendre son historique relationnel.
Qu’est-ce que le test WAIS IV ?
La WAIS ou Wechsler Adult Intelligence Scale(Échelle d’intelligence pour adultes selon Wechsler) est un test conçu par le psychologue américain David Wechsler pour mesurer l’intelligence des adultes et jeunes de plus de 16 ans.
La WAIS est l’échelle d’intelligence pour adultes la plus utilisée au monde.
Seul un psychologue formé à cela vous permettra de passer ce bilan.
La WAIS est composée de plusieurs tests brefs, les sous-tests. Chaque sous-test commence par un item (une question, un problème) simple, pour progresser sur des items de plus en plus difficiles à résoudre.
L’échelle se compose de tests dits verbaux et de tests non-verbaux, dits tests de performance (puzzles, cubes, etc.).
Chaque sous-test donne un nombre de points au participant. Lorsque le test est terminé, le psychologue transforme les points sont transformés en scores. Ces scores correspondent à la performance du participant par rapport à une population générale. Le score global donne un Quotient Intellectuel, ou QI.
La WAIS s’inscrit dans un bilan psychologique composé de 3 rendez-vous :
le premier est un échange de 45 min à 1h avec un psychologue. A son issu, le psychologue vous indiquera s’il est judicieux ou non de vous faire passer la WAIS IV.
le second est le test en lui même et dure environ 2h.
le troisième est la restitution et l’interprétation des résultats. L’interprétation des scores qui résultent du WAIS IV (les QI et les scores aux sous-tests) est effectuée par le psychologue et s’effectue dans le contexte du bilan psychologique qui inclut les entretiens cliniques et éventuellement d’autres tests psychométriques ou neuropsychologiques. Son interprétation ne se résume pas seulement au score final, le QI, mais inclut l’interprétation des scores aux tests qui composent l’échelle et qui doit prendre en compte le reste des informations et observations dont dispose le professionnel.
A propos
Flavie Arnou, praticienne en soins énergétiques, il me tient à coeur de vous accompagner vers votre bien-être physique, mental et émotionnel.
Egalement coach pour adultes « surdoués », dits « à haut potentiel », je vous propose un accompagnement ayant pour objectif de vous aider à devenir la personne que vous êtes vraiment au fond de vous. Se comprendre – s’accepter – gérer ses émotions et ses pensées envahissantes – optimiser sa surefficience.
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Devenir soi chaque jour un peu plus.
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Au programme de l’accompagnement de l’adulte surdoué :
découvrir son haut potentiel / annonce de sa surdouance suite au test WAIS IV
comprendre son propre mode de fonctionnement mais aussi comprendre le fonctionnement des autres (et donc réaliser et accepter que son entourage puisse fonctionner différemment de soi et qu’il puisse être normal qu’il ne nous ait pas toujours compris et accueilli dans nos particularités)
accepter sa différence et sa personnalité haute en couleurs
mettre à plat ses envies, idées, souhaits, faire des choix, et avancer concrètement vers des objectifs enthousiasmants
améliorer ses relations familiales, amicales, professionnelles, amoureuses
apprendre à gérer son stress
apprendre à apprivoiser son hypersensibilité
apprendre à canaliser ses pensées
apprendre à faire des choix
apprendre à gérer ses émotions
apprendre à mieux vivre au travail – trouver un travail qui nous corresponde davantage – trouver sa place dans sa vie professionnelle – gérer le stress au travail – gérer son hypersensibilité au travail
…
Vous souhaitez bénéficier d’un accompagnement ou obtenir des renseignements ? N’hésitez-pas à me contacter.
Le stress au travail est malheureusement trop présent en France. En effet, d’après une étude, 24% des salariés français se sentent en état d’hyper-stress. Stress et anxiété, lorsqu’ils sont ressentis trop fréquemment, engendrent des conséquences néfastes sur la santé et le corps. Mais heureusement, cela n’est pas une fatalité et il existe des solutions.
Le stress au travail : une réalité bien connue
Même si 72 % des salariés souffrent de stress comme l’annonce le sondage CSA, il n’est pas une fatalité.
Quelles sont les sources de stress au travail ?
Mauvaise ambiance de travail, horaires décalés, pression constante… Le travail génère son lot de stress, et cela peut affecter la santé et la qualité de vie des travailleurs.
Stress : quelques chiffres :
La surcharge de travail arrive en tête des facteurs de stress pour 64 % des cadres français, devant les délais imposés de plus en plus courts pour 59 %, suivi des méthodes de management pour 45 % et du manque de visibilité sur leur avenir professionnel pour 38 % (source : sondage AFP-ISGP).
D’après le ministère du Travail, 60 % des salariés déclarent ne pas avoir droit à l’erreur, 56 % mènent souvent plusieurs dossiers de front, 25 % sont en permanence débordés, et 30 % vivent des relations tendues avec leur supérieur.
Vous connaissez sans doute ces situations :
Débordé de travail, votre supérieur vous en demande toujours plus.
Déjeuner devant votre ordinateur pour avancer dans vos dossiers est une habitude.
Des plaintes des clients aux plaintes de vos collègues, vous explosez intérieurement et n’arriverez bientôt plus à vous contenir.
Le temps passé dans les transports vous épuise.
Vous pouvez compter le nombre de remarques de vos supérieurs hiérarchiques mais attendez toujours les encouragements.
La tension se fait sentir dans la boîte, vous n’êtes pas le(la) seul(e) à être stressé(s) au travail.
Les remarques désobligeantes de vos collègues de travail ou de votre supérieur se font de plus en plus nombreuses, vous vous êtes laissé débordé par les tâches à effectuer
Vous ne savez pas dire non à votre collègue ou votre supérieur et vous vous retrouvez avec une pile monstrueuse de travail à faire.
Vous procrastinez et vous retrouvez stressé face aux tâches que vous avez à accomplir en un temps record.
…
Tous ces exemples de vie au travail sont source d’un incroyable stress s’il n’est pas géré dès le départ ou si les situations sont trop importantes et trop régulières pour parvenir à les gérer au mieux. Alors, c’est le corps et la santé qui en pâtissent.
Les conséquences du stress sur la santé et le corps
Selon une étude, le stress au travail est une réalité chez 54% des salariés et 66% des managers. Les conséquences du stress sur la santé et le corps sont nombreuses :
maux de dos
tensions
maux de ventre
ballonnements
ulcères
troubles intestinaux
production importante de cortisol (hormone du stress) par le foie
fatigue physique et psychologique
ballonnements
dérèglements hormonaux
hypertension artérielle
prise de poids / perte de poids
vulnérabilité accrue aux infections et inflammations dues à un système immunitaire affaibli
asthme
problèmes de sommeil (difficulté à s’endormir, réveils pendant la nuit, insomnies…)
…
Heureusement, ces symptômes peuvent être évités et il existe bien évidemment des solutions pour ne plus subir autant de stress au travail ! Votre corps, votre coeur et votre moral vous diront merci !
Quelles solutions contre le stress au travail ?
1 – Respirer plus souvent
En effet, bien respirer est quelque chose de primordial et on l’oublie trop souvent ! Respirer détend à la fois les muscles et offre du calme au cerveau. Le coeur bat moins vite, la pression artérielle diminue, le corps se relâche, le cerveau est plus à même de réfléchir sans le laisser dépasser par les émotions et les peurs. Ainsi, il est plus évident de prendre du recul sur la situation. Prenez des pauses pour respirer, et pas n’importe comment : respirer par le ventre !
2 – Apprendre à mieux s’organiser et éviter de procrastiner
3 – Prendre du recul face à la situation
Changer de regard et s’entraîner à ne pas prendre les choses personnellement (vous connaissez ce principe toltèques ?). Observer son interlocuteur et se rendre compte que les émotions qu’il véhicule sont les siennes et non les vôtres. Usez d’imagination pour rester concentré et énergique.
4 – Apprenez à mieux communiquer avec ses collègues et sa hiérarchie
Savoir prendre le temps de planifier un moment pour communiquer avec vos interlocuteurs concernés sur ce qui ne va pas, sur les dysfonctionnements et sur la situation que vous vivez. Communiquer permet d’éviter beaucoup de stress !
5 – Apprendre à dire non
6 – Dédramatiser
Nous rendons souvent les événements plus graves qu’ils ne le sont.
Aux cadres qui ont peur d’être licenciés, Eric Albert, psychiatre, fondateur de l’Institut français de l’anxiété et du stress, demande :
« Vous serez licencié, et alors ? »
– Je n’aurai plus de ressources, répond le cadre angoissé.
– Et alors ? poursuit le psychiatre.
– Je ne pourrai plus faire face à mes charges.
– Et alors ?
– Je me retrouverai SDF sous les ponts. »
Mais n’existe-t-il pas d’étapes intermédiaires entre le licenciement et vivre sous les ponts ? Comme les allocations chômage, un emprunt à la famille, un emploi « alimentaire » avant de retrouver celui qui conviendra ?
Gérer et lutter contre le stress, c’est prendre conscience du décalage entre nos représentations et la réalité. Et agir pour cela de façon individuelle ne veut pas dire agir seul. L’auto-analyse est particulièrement difficile quand notre état de tension ne nous permet plus de réfléchir objectivement.
7 – Rire !
C’est certain, rire apporte beaucoup de bien-être et éloigne le stress de sa vie. Vous n’avez pas le coeur à rire ? Pas de problème ! Commencez par sourire et voyez ce que cela provoque en vous. On peut se forcer à rire. Ou aller vers ce qui nous fait habituellement rire (lancer une vidéo d’un humoriste qu’on adore, regarder une vidéo amusante, écouter une musique qui nous apporte de la joie…). En fait, peu importe ce qui déclenche le rire, l’effet au niveau du corps est le même.
8 – S’octroyer des moments de détente et de joie
Et si malgré tous vos efforts, les effets du stress au travail se font toujours sentir, vos douleurs (mal au dos, mal au ventre…) persistent, pensez à consulter ! Soins énergétiques et coaching de vie pourront vous aider dans cette démarche.
***
Et vous, comment vivez-vous le stress au travail ? Comment le gérez-vous ?
A propos
Flavie Arnou, praticienne en soins énergétiques (reiki & magnétisme), il me tient à coeur de vous accompagner vers votre bien-être physique, mental et émotionnel.
Egalement coach pour adultes « surdoués », dits « à haut potentiel », je vous propose un accompagnement ayant pour objectif de vous aider à devenir la personne que vous êtes vraiment au fond de vous.
Se comprendre – s’accepter – gérer ses émotions et ses pensées envahissantes – optimiser sa surefficience.
L’amour est le plus important. L’amour est la réponse. Si tu es perdu, si tu ne sais plus quoi faire, quoi dire, quoi penser, demande toi ce que ferait l’amour. L’amour est toujours la réponse. L’amour est puissant, l’amour et la joie sont intimement lié. Cultive l’amour en toi, ressent l’amour en toi et fais le grandir chaque jour. Ainsi, le bonheur te sera dévoilé.
L’amour est la clé.
Tout l’amour que tu peux chercher, attendre, demander, tout cet amour se trouve à l’intérieur de toi et tu y as accès en tout temps, en tout lieu, par la simple connexion à ce sentiment. En toi se trouve une réserve inépuisable d’amour. Tourne toi vers ton coeur et ressens cet amour. Regarde la beauté de ce monde. A travers la beauté de la nature, la beauté d’une fleur, d’un arbre, d’un paysage, à travers le sourire d’un enfant… regarde, regarde vraiment et tu ressentiras l’amour. Regarde le monde, regarde l’autre, regarde toi avec les yeux de l’amour et jamais, jamais, tu ne pourras en manquer. Et jamais, jamais, tu n’auras à en demander.
Regarde toi, regarde l’autre, regarde le monde avec les yeux de l’amour, et toute ta vie changera.
Méditation d’ancrage énergétique : technique de visualisation de l’arbre.
Une méditation de 5min pour calmer le mental et s’enraciner dans le présent et la matière. A écouter autant de fois que vous en ressentez le besoin !
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Coach de vie sur Paris et à distance, je vous accompagne dans la re-connexion à vous-même. Pour que vous puissiez vous souvenir de qui vous êtes vraiment, vous créer une vie qui vous corresponde davantage, en suivant votre intuition et en dépassant vos peurs et vos limites. Reprenez les rênes de votre vie pour vous épanouir pleinement, et ainsi vivre plus de joie, d’amour et de paix.
Loi d’attraction : Concentre-toi sur ce que tu veux
Chaque fois que tu bloques sur ce que tu ne veux pas ou sur ce que tu ne veux plus, oriente immédiatement ta pensée vers ce que tu veux.
*
Prends le temps de ressentir ce désir.
Ferme les yeux et visualise, imagine ce que tu souhaites, en étant convaincu de le mériter :
Est-ce un sentiment agréable ? Comment te sens-tu ? Comment te tiens-tu ? Peux-tu entendre des sons, des voix ? Peux-tu sentir l’ambiance et les détails de la scène ? Que vois-tu ?
Observe les détails.
Reste en contact le plus souvent possible avec ça.
*
Tes pensées créent ta réalité.
Tout est énergie. Ta pensée est énergie. L’univers est énergie. Ainsi, si ta pensée se porte sur ce que tu ne veux pas et sur ce qui te manque, alors tu en obtiendras davantage. Si en revanche tu orientes ta pensée sur ce que tu veux et que tu as confiance dans le fait de le mériter, alors c’est ce que tu obtiendras, au meilleur moment pour toi.
*
C’est toi et toi seul qui crée ta réalité. Amuse-toi à le faire, tu as les commandes ! Et si tu as besoin d’aide, contacte moi !
Bienvenue
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Tu es déjà l’amour / la joie / la sérénité / la confiance … que tu recherches et penses ne pas être.
Ferme les yeux et mets toi en contact avec l’état que tu penses avoir perdu, ou ne jamais avoir eu.
Laisse remonter en toi un souvenir, une image.
Ressens ça.
Fais une pause et respire.
Laisse-toi envahir par ce sentiment, puis réouvre tranquillement les yeux.
Tout est déjà là, en toi, à chaque instant et pour toujours. Il suffit de te souvenir.
Flavie
Bienvenue
Coach de vie sur Paris et à distance, je vous accompagne dans la re-connexion à vous-même. Pour que vous puissiez vous souvenir de qui vous êtes vraiment, vous créer une vie qui vous corresponde davantage, en suivant votre intuition et en dépassant vos peurs et vos limites. Reprenez les rênes de votre vie pour vous épanouir pleinement, et ainsi vivre plus de joie, d’amour et de paix.
Se reconnaître en toute chose. C’est donc ça ? Un sourire s’esquisse de mon visage. Regarder l’autre en ressentant que nous sommes constitué de la même essence. Et sourire. Regarder une fleur, les arbres qui défilent sous mes pas, sentir le soleil sur ma peau, et me sentir Un. A la fois faisant partie intégrante d’un tout, ne plus me sentir individuelle. Ce sentiment, un instant, de ne plus exister en tant que personne dans un corps physique. Quel sentiment étrange, lorsqu’il est ressenti en conscience. C’est donc ça. Quelle paix intérieure, quelle joie. La joie pour rien.
Poser une intention
Il me suffisait juste de poser une intention. Celle d’être la joie, la paix, la légèreté, l’amour. Regarder l’autre et ne plus s’attarder sur sa part d’ombre. Voir et ressentir en une fraction de seconde qu’il est l’amour et la paix. Et lui sourire. Mon regard a changé. Quelque chose en moi a changé. Ce n’est plus simplement une théorie, quelque chose de compris intellectuellement. C’est expérimenté.
Je suis tout
Se reconnaître en toute chose. C’est donc ça ? Un sourire s’esquisse de mon visage. Regarder l’autre en ressentant que nous sommes constitué de la même essence. Et sourire. Regarder une fleur, les arbres qui défilent sous mes pas, sentir le soleil sur ma peau, et me sentir Un. A la fois faisant partie intégrante d’un tout, ne plus me sentir individuelle. Ce sentiment, un instant, de ne plus exister en tant que personne dans un corps physique. Quel sentiment étrange, lorsqu’il est ressenti en conscience. C’est donc ça. Quelle paix intérieure, quelle joie. La joie pour rien.
Il me suffisait juste de poser une intention. Celle d’être la joie, la paix, la légèreté, l’amour. Regarder l’autre et ne plus s’attarder sur sa part d’ombre. Voir et ressentir en une fraction de seconde qu’il est l’amour et la paix. Et lui sourire. Mon regard a changé. Quelque chose en moi a changé. Ce n’est plus simplement une théorie, quelque chose de compris intellectuellement. C’est expérimenté.
A propos
Flavie Arnou, praticienne en soins énergétiquesReiki à Nantes et à distance, il me tient à coeur de vous accompagner vers votre bien-être physique, mental et émotionnel. Retrouvez l’apaisement, le relâchement, la confiance et bien d’autres choses encore.
Je vous accompagne également dans le cadre du coaching vers le changement et la réalisation de vos objectifs personnels et professionnels.
L’exercice d’ancrage à la terre que je vous propose d’expérimenter est aussi appelé la méditation de l’arbre. Il s’agit d’un exercice de visualisation, vous permettant de vous enraciner dans le présent et simplement d’Être, ici et maintenant.
Pratiquer cette visualisation énergétique vous permettra d’apaiser votre esprit, de canaliser le flot de pensées qui vous envahit parfois au quotidien, et vous aidera à retrouver le calme et votre présence véritable dans le présent. Vous pouvez effectuer cette méditation aussi souvent que votre besoin s’en fera sentir.
Cette technique de l’arbre est très simple. Laissez-vous aller, laissez votre imagination se déployer, détendez-vous. Prenez ce temps de pause, pour vous.
Voici comment procéder à votre enracinement énergétique :
Installez-vous confortablement, assis sur une chaise ou sur le sol le dos bien droit et les pieds posés bien à plat, ou bien encore debout, dans une posture bien droite également. C’est encore mieux si vous pouvez faire cet exercice pieds nus directement au contact de l’herbe, la terre, le sable…
Puis, fermez les yeux.
Prenez une grande inspiration par le ventre, puis expirez lentement par la bouche. Faites ceci au moins 3 fois.
Portez votre attention sur le contact de vos pieds sur le sol. Votre corps représentant l’arbre.
A chaque expiration, visualisez des racines sortant de vos pieds, et à chaque inspiration, ressentez l’énergie de la terre qui entre en vous.
Continuez ce processus en visualisant vos racines s’étendre dans la terre et occupant la surface du lieu dans lequel vous vous trouvez. Laissez vos racines s’étendre toujours plus loin et occupant l’espace souterrain de votre ville, département, région, pays etc. jusqu’à ce qu’elles recouvrent la Terre entière.
Visualisez vos racines s’enfoncer toujours plus profondément dans la terre à chaque expiration, jusqu’à finir par accéder au noyau de la Terre. Là, prenez autant d’inspirations dont vous sentirez le besoin en vous laissant remplir par l’énergie de la Terre.
Visualisez votre arbre se développer, grandir et s’épanouir.
Remerciez cet instant, cet échange.
Ouvrez les yeux tranquillement, à votre rythme.
Il n’y a rien à faire, rien à comprendre, juste à être.
Si vous souhaitez vous laisser guider par ma voix pour votre ancrage énergétique, voici un enregistrement créé pour vous. Belle écoute, bel ancrage :-).
« Non mais attends, c’est quoi toutes ces pensées dans ma tête ? Toutes ces questions ? Tout se bouscule, je ne sais plus ce qui est vrai ou faux, ce que je dois faire ou pas ! C’est quoi la bonne idée ? C’est quoi la décision à prendre ? Je dois croire quelle pensée ? Comment je démêle tous ces noeuds ?! »
INTUITION
=> La pensée qui arrive EN TOUT PREMIER à votre esprit est celle soufflée par votre intuition, par votre coeur.
Parfois, votre mental, votre égo, la peur, prend tellement de place que cette toute première voix se retrouve étouffée. Elle vous parvient presque comme inaudible, vous la sentez à peine passer, vous ne la voyez presque pas venir à vous.
Pourtant, elle est là, en vous, à chaque instant prête à vous guider.
Ecoutez, ressentez, observez plus attentivement les sensations dans votre corps lorsqu’une idée, une parole vous vient lorsque tout est calme et tranquille en vous.
Comment vous sentez-vous, en premier ? Que vous disent ces pensées ? Comment cela résonne en vous ? Cela est-il agréable, ici et maintenant ?
La voix de l’intuition, du coeur, est calme, posée, sûre d’elle, simple, courte, efficace. Elle ne passe pas par quatre chemins. Elle va à l’essentiel.
Comme un ressenti qui vous fait dire « C’est ça », « oui, vas-y, c’est pour toi », « Mais oui, c’est évident », mais aussi tout un tas d’idées, d’inspiration, de projets qui vous viennent en un instant et qui vous font sentir que « c’est ça », que « c’est pour vous »…
Votre intuition vous guide partout, tout le temps, et si vous vous entraînez à l’écouter, puis faites le CHOIX de la suivre, c’est votre bonheur, votre épanouissement qu’il y a à la clé.
MENTAL
=> La pensée qui vient EN SECOND, juste après ce moment agréable en compagnie de votre chère intuition 🙂 c’est le mental qui la fabrique.
C’est votre égo, c’est la peur. Celle-ci, si vous n’êtes pas entraîné, habitué à écouter et suivre votre intuition, vous ne pouvez pas la louper parce qu’elle se fait un malin plaisir à surgir précisément à ce moment là. Là où vous pourriez la faire disparaître pour toujours (c’est la grande peur du mental : ne plus exister).
Elle est bavarde celle-ci ! Elle parle fort ! Elle a du caractère ! Elle juge et elle est plutôt négative. Vous pourrez l’entendre dire des choses comme :
– « C’est n’importe quoi, c’est complètement fou ce que tu penses là ! »
– « Ca ne peut pas être ça, tu te fais des idées, c’est ton mental » (ahah elle est forte celle-ci, voyez comme le mental vous manipule :-p !)
– « Mais quelle idée, ça ne marchera jamais ! »
– « Regarde comme tu es confortable là, tu ne vas pas te mettre à tout bousculer autour de toi ! »
– « Mais que vont penser mes proches ? »
– « Tu vas te faire critiquer ! »
– « On va te tourner le dos ! »
– « Tu n’es pas assez bon ! »
– « Tu vas perdre de l’argent ! »
– « Les autres font mieux que toi »
– « Tu te rends compte tout ce que tu vas perdre si tu vas dans ce sens, tout ce qui va changer ? »
– « Non vraiment, ne change rien… »
et bla et bla et bla…
Et voilà que notre intuition se retrouve complètement écrasée par notre mental, celui qui nous détourne de qui-on-est-vraiment, qui nous détourne de notre coeur et de la voie qui nous rendrait véritablement heureux, joyeux.
Et plus le mental parle fort, plus la pensée de départ se trouve précisément PILE là où se trouve notre bonheur…
Alors, quelle pensée choisissez vous d’écouter et de suivre désormais ? La première, ou la(les) seconde(s) ?
…
Je suis sûre que vous avez de beaux exemples à nous raconter, lorsque vous avez choisi de suivre votre intuition !
Racontez-nous en commentaire !
Bienvenue
Coach de vie sur Paris et à distance, je vous accompagne dans la re-connexion à vous-même. Pour que vous puissiez vous souvenir de qui vous êtes vraiment, vous créer une vie qui vous corresponde davantage, en suivant votre intuition et en dépassant vos peurs et vos limites. Reprenez les rênes de votre vie pour vous épanouir pleinement, et ainsi vivre plus de joie, d’amour et de paix.
Dans votre vie, vous n’empruntez que deux chemins : celui de l’amour, ou celui de la peur.
Seuls ces deux sentiments vous guident au quotidien.
A vous d’apprendre à les reconnaître, à choisir et agir en conscience et en conséquences. Vous prendrez ainsi pleinement la responsabilité de votre vie. Parce que c’est vous-même qui la créez de toutes pièces :-).
L’AMOUR
Qu’est-ce qu’un chemin emprunté dans l’amour ?
Qu’est-ce qu’un choix fait dans l’amour ?
Avancer dans l’amour, c’est emprunter un chemin qui vous fait ressentir la joie, le calme, la satisfaction, le contentement, la paix, la plénitude. C’est un choix qui vous élève, qui vous nourri et qui vous fait vous sentir parfaitement à la bonne place.
Lorsque vous êtes dans l’amour, les choses sont fluides, simples, faciles, évidentes. Vous vous sentez bien, heureux, apaisé à l’intérieur de vous.
Est-ce que c’est d’un choix d’amour qu’on parle, quand on dit qu’on a fait « le bon choix » ?
Oui. Et non. En fait, il n’y a pas de bon ou de mauvais choix. Il n’y a que des décisions. Tous vos choix, quels qu’ils soient, vous apportent quelque chose. Tous vos choix vous apprennent des choses. Seulement, un choix peut vous éloigner ou vous rapprocher de qui vous êtes vraiment. C’est en ce sens qu’on parle communément de « bon choix ». On dit qu’on fait le « bon » choix quand on se sent à la bonne place. Quand on se dit « j’ai bien fait de ». Un choix peut vous faire vous sentir vivant, ou vous éteindre. A vous de décider vers où vous voulez aller, et ce que vous souhaitez être. C’est en ce sens qu’il n’y a pas de bon ou de mauvais choix.
Choisir dans l’amour, c’est emprunter la voie qui mène à votre âme, à qui vous êtes vraiment. C’est respecter vos envies et vos besoins les plus profonds. C’est faire ce qui vous fait profondément du bien. C’est reconnaître quelque chose qui est bon pour vous, ressentir la peur qui y est associée, et y aller quand même.
C’est être la personne que vous voulez réellement être. C’est grandir, s’élever. C’est vivre.
Comment savoir si je suis dans l’amour ?
Comment choisir dans l’amour ?
Comment savoir si ce que je choisi est un choix fait dans l’amour ?
La voie à suivre, la réponse intuitive, la réponse qui vient du plus profond de vous-même, vous parvient lorsque tout est calme en vous. Lorsque votre corps et votre esprit sont détendus. Soyez attentifs à vos ressentis corporels.
Faites le calme à l’intérieur de vous-même. Respirez profondément, lentement. Vous pouvez fermer les yeux et rester assis, ou bien aller marcher dans la nature par exemple. Trouvez ce qui vous permet de vous sentir calme et détendu. Puis, posez votre question. Et écoutez la première réponse qui vient à vous. Laissez venir ce qui vient, sans forcer, sans juger. Juste, être à l’écoute, curieux.
C’est dans le calme, loin de l’agitation de l’esprit, que les réponses les plus proches de qui vous êtes vraiment vous parviennent.
C’est en agissant dans le sens de la ou les réponses qui vous sont venues dans le calme, entre vous et vous seul, en toute sincérité avec vous-même, que vous pourrez vivre dans l’amour, et être qui vous voulez vraiment être.
Un choix d’amour, c’est un choix qui respecte votre âme, qui respecte la personne que vous êtes vraiment et que vous voulez vraiment être.
***
LA PEUR
Alors, à l’inverse, comment sait-on qu’on est dans la peur, qu’on choisi quelque chose dans la peur ?
Choisir dans la peur, c’est aller à l’opposé de ce que vous souhaitez vraiment, à l’opposé de ce dont votre âme a besoin pour grandir, s’élever, s’épanouir et s’accomplir.
Choisir dans la peur, c’est emprunter un chemin qui vous fera rencontrer des émotions désagréables, comme la colère, l’inquiétude, l’anxiété, le doute, le regret, le ressentiment, la contrariété… Toutes ces émotions qui ne vous font pas vous sentir bien, serein. C’est fermer les yeux sur ce que vous voulez vraiment, c’est tenir à l’écart l’expérience qui vous attire et qui vous épanouirait.
Au moment où vous vous retrouvez confronté à un choix et que la peur vous gagne, vous pourrez par exemple sentir votre corps se crisper, votre ventre se nouer ou votre gorge se serrer. Vous sentir vous figer, alors que la chose à laquelle vous pensez / l’option qui se présente à vous, vous fait vraiment envie. Vous pourrez aussi entendre à ce moment là, des pensées jugeantes comme « non je n’y arriverais jamais », « c’est trop dangereux », « et si cela ne marche pas ? », « et si on s’éloigne de moi ? », « ce n’est pas pour moi », « les autres y arrivent mais pas moi », « je ne devrais pas », « et si… » etc. Choisir la peur, c’est adhérer à ces pensées jugeantes, c’est leur accorder raison, et agir en leur sens. Choisir la peur, c’est aussi renoncer à quelque chose de plus grand. C’est laisser vos peurs, vos manques, votre insécurité vous diriger.
Choisir la peur, c’est prendre un chemin qui vous amène à contre-courant, où vous aurez besoin de déployer beaucoup d’énergie pour rester dans cette direction. C’est un chemin fait de doutes, de craintes, de tristesse. C’est dire « oui », alors que vous pensez « non ». C’est dire « non », alors que vous aimerez tellement dire « oui ». C’est être incohérent entre vos envies profondes, et les décisions que vous prenez. C’est s’empêcher de. C’est choisir de renoncer à meilleur pour soi.
C’est un chemin qui ne nourri pas votre âme, qui vous éloigne de la joie et de qui vous êtes vraiment.
Vous vous rapprocherez de qui vous êtes vraiment lorsque vous ferez vos choix dans l’amour, et non dans la peur.
Si vous doutez, demandez-vous « que ferait l’amour ? »
Entraînez-vous au quotidien à ressentir ce qui se passe en vous lorsque des choix, des options s’offrent à vous, et faites vos choix en conscience.
Choisissez l’amour, de plus en plus. Si vous doutez, demandez-vous « que ferait l’amour ? ».
Choisissez et agissez dans le sens de ce qui vous fait du bien, ce qui vous rend joyeux, ce qui vous apaise et vous stimule. Ce qui fait pétiller vos yeux, ce qui fait battre votre coeur.
Pour bien cerner tout cela, et savoir à quoi vous pourrez vous fier pour déterminer l’essence de vos choix à venir, et ainsi détecter vos signaux corporels et émotionnels, revenez un peu en arrière, et regardez vos expériences passées. Lesquelles ont été le fruit d’un choix fait dans l’amour ? Lesquelles ont été le fruit d’un choix fait dans la peur ? Où ces expériences vous ont-elles conduit ? Ont-elles été épanouissantes ? Vous sentiez-vous à la bonne place ? Vous rappelez-vous comment vous vous sentiez physiquement, émotionnellement ?
Plus vous serez à l’écoute de vos émotions et ressentis et les conscientiserez, plus les voies qui vous correspondent vraiment s’éclairciront devant vous.
***
Aujourd’hui, soyez bien conscient que vous êtes le créateur de votre vie, de vos expériences. Voulez-vous vivre davantage selon qui vous êtes vraiment ? Voulez-vous faire l’expérience d’une vie faite de plus de joie, d’amour, de paix ? Que voulez-vous vraiment… ?
Je vous envoie plein d’amour. Beau cheminement à vous !
Flavie
Bienvenue
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Le cerveau qui surchauffe, je connais bien ça ! J’avais envie de t’en parler aujourd’hui. Il me semble que cela pourrait t’être utile un jour ou l’autre 😉
Tu te rappelles ces jours où ton cerveau tourne à plein régime, te bombardant de questions, de paroles toutes plus assourdissantes les unes que les autres ? Ces instants où tu n’as qu’une envie, celle de crier « Stooooop ! Assez ! » pour entendre le silence au creux de ta boîte crânienne ?
Rassures-toi, tu n’es pas seul !
Alors, en cas de surchauffe cérébrale, une première solution :
ne rien faire
Oui, tu as bien lu !
Ce que j’entends par « ne rien faire », c’est : te poser, fermer les yeux, activer tes 5 sens, respirer. Observer ta respiration et observer tes pensées, sans jugement. En un mot : méditer.
Alors d’accord, ce n’est pas toujours simple, surtout si tu as tendance à vouloir tout contrôler et que tu pourrais penser : « Ne rien faire ? Mais pourquoi ? Et est-ce que cela va marcher ? Et si cela ne marchait pas ? Mais si je ne fais rien, mon projet ne va pas avancer, et ça et ça non plus ! … »
C’est difficile parfois, je te l’accorde, de lâcher prise lorsque tout se bouscule là-haut et que tu es nerveusement fatigué.
Parce que quand ton cerveau surchauffe, il est plus difficile de t’y mettre, il est utile de pratiquer la méditation régulièrement, quand tout va bien, quand tu es calme. Tu verras, en prenant cette habitude, il te sera bien plus facile de détecter la surchauffe à venir, et ne pas la laisser t’envahir.
Et si elle arrive quand même, pas de jugement. Personne n’est parfait. Ne l’oublie pas.
Aussi, quand ton cerveau surchauffe, il est bon aussi de faire autre chose. A toi de voir ce qui te parle le plus, ce qui marche le mieux pour toi. Va faire une activité qui te détends, qui te fais du bien.
Par exemple : aller marcher, écouter de la musique, faire du sport…
Qu’est-ce que tu aimes faire et qui te permets de te détendre ?
Après ces solutions, dis-moi si ton cerveau surchauffe toujours ;-), et n’hésites-pas à partager tes expériences en commentaire !
Détendez-vous, prenez soin de vous, et devenez plus léger 🙂
Faites-vous attention à cette petite voix, qui n’est pas très agréable et qui vous parle parfois un peu trop souvent à votre goût ?
Cette voix caractérielle, négative, qui fait ressortir en vous peur, colère et tristesse ?
Vous savez, cette voix qui peut vous dire parfois : « tu es nul », « tu n’y arriveras pas », « tu devrais laisser tomber », « tu vois, tu as encore raté, je t’avais dit que tu n’étais pas capable ! », « reste ici, ne prends pas ce risque », « de toute façon tu ne comprends rien »…
J’aime personnifier l’Ego. J’aime lui donner un nom et pour différencier de moi, car il n’est pas soi. Et il est important que vous fassiez bien cette différence.
A quoi sert l’Ego ?
L’Ego est cette partie en vous qui rassemble toutes vos émotions négatives. Pourtant, sa réelle intention est de vous protéger. Vous protéger de quoi ? Des dangers. En tout cas, de ce que l’Ego considère comme être des dangers. Et pour cela, il se base sur votre vécu, sur vos anciens fichiers, sur votre « zone de confort ».
Vous êtes habitué à avoir des jobs pas très épanouissants pour lesquels vous ne donnez pas le meilleur de vous-même et vous venez, enfin, de décrocher le job de vos rêves ? Soyez attentif, votre Ego risque de se manifester… Dans cet exemple, lui qui ne connait que l’ennui et la faible motivation, va prendre pour « confort » ces habitudes et saura vous alerter du « danger » d’une activité épanouissante et valorisante, (et nouvelle pour vous) pensant vous protéger.
La voix négative et paralysante parfois de l’Ego, n’est pas vous. Ce qui vous représente vous, ce sont vos valeurs. Partez à leur recherche, et rappelez-les vous aussi souvent que vous en ressentez le besoin.
Vous avez par réflexe de rejeter la voix de l’Ego. Au contraire, pour la faire disparaitre et reprendre le contrôle de vos émotions, accueillez-la et écoutez-la dans le calme.
Et en pratique, ça donne quoi ?
Donner un nom à son Ego
Le reconnaitre et l’accueillir quand il se manifeste
Prendre connaissance du message qu’il cherche à faire passer
Vous rappeler qu’il n’est pas vous
Remettre en lumière ce que vous voulez réellement, au fond de vous
Respirez profondément et agissez en conséquence 🙂
Vous préférez faire ce travail en étant accompagné plus en détails et profondeur ? Je suis là pour vous 🙂 !
L’intuition est notre petite voix intérieure, notre coeur, une certitude inexplicable qui se ressent dans notre corps, ou encore, une réponse d’un guide qui peut sembler venir d’un ailleurs. C’est une réponse non rationnelle qui nous traverse.
On ne sait pas pourquoi, mais on sait. C’est une évidence. On le sent. On le ressent.
C’est cette impression, cette sensation, que nous avons la bonne réponse.
Si nous ne sommes pas habitué à écouter notre intuition et lui faire confiance, notre mental prendra le dessus, cherchera à nous saboter et piochera parmi nos peurs et nos croyances limitantes pour nous faire douter, pour faire taire cette petite voix qui cherche à nous guider.
Tout le monde peut-il avoir de l’intuition ?
Oui. Chacun d’entre nous est doté d’une puissante intuition, mais tout le monde ne s’autorise pas à l’écouter.
Il est tout à fait possible de développer son intuition et vivre davantage dans l’écoute de soi.
Comment distinguer l’intuition du mental ?
Le mental, c’est ce dialogue intérieur infernal qui discute avec nous en permanence.
Par exemple, lors d’une journée de travail chargée, le mental pourrait intervenir de cette façon :
« Je n’arriverais jamais à boucler ces dossiers à temps. De toute façon, c’est impossible, j’ai pris beaucoup trop de retard. Comme d’habitude, je n’arrive pas à m’organiser. Je suis vraiment nul. Il est déjà 11h, je n’ai pas avancé, il faut absolument que j’arrive à tout faire. Si je ne termine pas à temps, cela prouvera à mon N+1 qu’il n’aurait pas du me confier ce projet… » Ce blabla intérieur peut aller très loin si on ne prend pas conscience de son pouvoir et de comment il est possible de le maitriser !
L’intuition, c’est une réponse qui nous fera nous sentir calme, apaisé et dans un état de bien-être, de certitude. Avec de l’entrainement, on peut l’entendre plus intensément. Penser à cette solution, cette réponse apportée par notre petite voix, par notre guide, par notre coeur, nous procure du bien-être.
Nous sommes rassurés, à notre place, dans la bonne direction, et serein.
Ecouter son intuition c’est être capable de se faire confiance, c’est réussir à lâcher prise, croire en soi.
Suivre son intuition, c’est avoir le courage d’avancer et de faire ses propres choix sur ses ressentis, sur quelque chose qui ne relève pas de la raison, et ne pas chercher à les rendre rationnels.
Suivre son intuition permet donc de prendre les bonnes décisions. Vous rappelez vous de la célèbre citation de Blaise Pascal « le coeur a ses raisons que la raison ne connait point » ? 😉
Maintenant que vous en savez un peu plus sur le sujet, voici un exercice pour apprendre à faire davantage vos choix en faisant confiance à votre intuition :
Comment se connecter à son intuition ?
1 – Demander. Poser une question à laquelle vous souhaitez sincèrement avoir une réponse, et, si possible, la dire à haute voix
2 – Toujours à haute voix, exprimer vos peurs à ce sujet
3 – Respirer profondément et calmement
4 – Faire confiance et laisser venir à soi une, ou plusieurs réponses
6 – Ecouter cette/ces réponse(s)
7 – Se demander “est-ce que c’est vrai ?”
Si vous vous sentez bien avec cela, calme, détendu, serein, alors suivez cette voix/voie.
“L’intuition est la grande voix de l’inconnu vers lequel nous pousse notre destinée.” Minou Petrowski
Comprendre que nos relations fonctionnent en effet miroir nous les fait vivre d’une toute autre manière et permet de grandir et d’évoluer aussi plus rapidement soi-même.
Nos relations ne peuvent en être que meilleures si on apprend à utiliser cet effet miroir et à aiguiser son sens de l’observation, dans le non jugement et le respect de l’autre, et de soi.
Finalement, c’est ce que nous souhaitons tous au fond de nous : être respecté, accepté pour ce que l’on est, apprécié à notre juste valeur et aimé. Et si ça commençait par soi-même ?
Et si vos pensées telles que « l’autre m’énerve à dire ça/à faire ça » ; « Je ne supporte pas quand il/elle se comporte de cette manière »… n’étaient en fait que des points négatifs à votre égard ?
J’ai déjà abordé ce sujet dans un précédent article (« Comment améliorer ses relations en 5 étapes« ), mais j’avais envie d’aborder ce point du point de vue de la connaissance de soi en particulier.
Souvent, ce qui nous agace, nous énerve, nous repousse chez les autres, sont des ressentis que nous avons pour nous-même. Les autres nous renvoient alors notre propre reflet, en effet miroir. D’ailleurs, ce reflet nous montre autant nos parties d’ombres que de lumière.
Il est tout aussi intéressant de s’intéresser à nos parties lumineuses pour renforcer l’estime de soi et développer son potentiel.
Ainsi, il est intéressant de vous demander, dans vos interactions, ce que révèlent chez vous les comportements/réactions/attitudes qui vous agacent chez les autres, mais aussi, celles que vous admirez. En vous posant les bonnes questions, vous pourriez bien découvrir de précieuses informations.
S’améliorer grâce à ses parties d’ombres
1 – Prendre conscience de ce qui vous agace chez quelqu’un
2 – Vous demander pour quelle(s) raison(s) cette attitude, ce comportement vous irrite autant.
Ex : Vous captez une maman dans un magasin qui se fâche d’une manière agressive en haussant la voix sur son jeune enfant. Plusieurs réactions sont possibles, puisque la perception est différente pour chacun. Vous pourrez peut-être vous dire :
« Elle n’a pas honte de parler aussi fort devant tout le monde ? »
« C’est injuste son enfant n’a rien fait de mal, je l’ai vu »
« Comment peut-on est agressif de cette manière envers son enfant ? »
« Quel manque de respect pour les autres, elle s’en fiche de crier devant tout le monde, ça ne se fait pas »
…
C’est à ce moment là qu’il est intéressant de vous demander en cet aspect se retrouve chez vous. Êtes-vous injuste, irrespectueux, honteux, agressif, dur, etc. avec vous-même ?
Cherchez bien.
3 – Prendre conscience d’une partie d’ombre en soi est une bonne chose. Maintenant, il faut la transformer, et surtout : ne pas se juger !
Juste, en prendre conscience, l’accueillir. C’est ok. Félicitez-vous pour cette découverte faite sur vous-même et prenez une décision :
soit, vous travaillez sur cet aspect de vous pour le dépasser et guérir de vos anciennes blessures
soit, vous acceptez pleinement cette facette de vous, tout en sachant que cela ne vous aidera pas à progresser et évoluer vers le meilleur de vous-même
Et surtout ! Rappelez-vous bien que quand vous critiquez et jugez une personne, c’est en fait vous, la véritable cible…
Se révéler grâce à ses parties lumineuses
L’effet miroir fonctionne également avec les personnes que vous admirez. Ce que vous admirez chez les autres, vous l’avez aussi en vous… En prendre conscience renforce l’estime de soi et la confiance en soi, et les développer révèle son potentiel et permet de s’épanouir pleinement.
Alors, qu’est-ce que vous admirez chez les autres ?
Maintenant que vous connaissez la puissance de l’effet miroir, à vous de choisir, à vous de jouer !
Si cet article vous a plu, vous a aidé, et si vous pensez qu’un proche aurait lui aussi envie d’améliorer ses relations, partagez le autour de vous 🙂
Vous êtes-vous déjà demandé sérieusement ce qui est vraiment important pour vous, et pourquoi vous faites ce que vous faites (ou voulez faire ce que vous voulez faire) ?
Connaissez-vous votre « pourquoi » ?
Vivre une vie sans connaître son « pourquoi », c’est laisser les autres vous définir. C’est laisser les autres décider à votre place. C’est croire ce que les autres disent de vous.
Ne pas connaître son « pourquoi », c’est douter en permanence de ses choix, c’est manquer de confiance en soi, manquer d’estime de soi.
Ne pas connaître son « pourquoi », c’est vivre en mode « automatique », c’est laisser la vie décider pour soi. C’est ne pas repérer les opportunités parce que vous ne savez finalement pas ce qu’est une opportunité pour vous.
Si vous avez du mal à faire des choix, à avoir une vie qui vous passionne, à avancer en ayant la certitude que vous êtes à votre place, c’est parce que vous ne savez pas qui vous êtes et ce qui est important pour vous.
Connaître son « pourquoi », ça change quoi ?
Connaître son « pourquoi », c’est savoir qui vous êtes.
C’est gagner en confiance en soi, en affirmation de soi et en estime de soi.
C’est ne plus avoir peur du regard des autres, des critiques, du jugement. C’est assumer ses choix, ses besoins et ses envies. C’est assumer ce qui est important pour vous.
Connaître son « pourquoi », c’est définir des objectifs de vie qui vous correspondent profondément, qui vous amènent à réaliser la vie que vous souhaitez mener.
C’est gagner en détermination pour gravir les obstacles qui se dresseront sur votre route.
Savoir qui vous êtes vous permet d’atténuer vos doutes, vos craintes et surtout, de mieux les gérer et les transformer plus rapidement.
Plus vous vous connaissez, plus votre « pourquoi » et votre vision sont clairs, et plus votre intuition se développe. Vous saurez repérer les opportunités qui s’offrent à vous. Vous trouverez la force nécessaire en vous pour accomplir vos rêves.
Si vous avez envie de vivre une vie qui vous ressemble vraiment, si vous avez envie de croire que vos rêves peuvent être réalisés, je vous invite à vous pencher sur votre « pourquoi », sur ce qui est vraiment important pour VOUS.
Comment faire pour savoir ce qui est important pour soi ?
Pour chaque domaine de votre vie, sur un projet en particulier, sur une activité… Demandez vous ce qui vous passionne, ce qui vous excite dans votre vie, ce qui vous rend heureux.
Qu’elles sont vos différences ?
Quelles sont vos forces ?
Qu’es-ce que vous faites avec fluidité, avec facilité ?
Qu’est-ce que vous aimez transmettre aux autres ?
Par exemple : J’ai le souhait de faire le tour du monde.
– Pourquoi ce projet ? Parce que j’ai envie de découvrir de nouvelles cultures, de nouveaux modes de vie, de nouveaux paysages.
– Pourquoi vouloir cela ? Parce que j’ai envie d’évoluer et de mieux comprendre le monde, de m’enrichir des autres, et que j’aime apprendre, rencontrer, partager.
– Pourquoi c’est important pour moi ? Parce que cela me fait me sentir vivante.
…
Maintenant, un peu de discipline 🙂
Vous le savez, la vie n’étant pas un long fleuve tranquille, les moments de doutes peuvent revenir.
Pour reprendre les rênes plus facilement et plus rapidement, un conseil :
Remémorez-vous votre « pourquoi ». Notez-le.
Prenez l’habitude d’y penser régulièrement, de vous poser la question régulièrement et de l’ajuster.
Ne laissez plus les autres définir ce qui doit être important pour vous. Prenez les commandes de votre vie.
Vivre une relation toxique est destructeur. Perte de confiance et d’estime de soi, blessures émotionnelles, perte de sens dans sa vie, perte d’identité… on ne sort pas d’une telle relation sans égratignures.
Mais comme toutes les blessures, elles cicatrisent.
Cela demande un peu plus d’énergie et de travail que pour une relation saine, mais c’est possible !
Voici alors 6 étapes pour se reconstruire après une relation toxique.
1 – Prenez l’entière responsabilité de votre vie
Décidez que vous et vous seul(e) êtes responsable de votre vie. Vous n’êtes pas responsable de la vie des autres. Vous avez assez souffert. Maintenant, il est temps de reprendre le contrôle ! Personne ne le fera à vôtre place…
2 – Libérez-vous de la culpabilité
Prenez conscience que la personne avec qui vous étiez en relation toxique a utilisé son propre mode de fonctionnement avec vous, et qu’elle le réutilisera probablement avec quelqu’un d’autre. Cependant, demandez-vous pourquoi vous êtes tant attiré par des personnes qui vous manipulent, qui vous contrôlent, et qui vous font du mal. Demandez-vous également quel est le comportement que vous adoptez qui vous amène à vivre une telle relation.
3 – Pardonnez-vous
Maintenant que vous avez pris l’entière responsabilité de votre vie, que vous ne portez plus la culpabilité de cette histoire, pardonnez-vous.
Faire la paix avec soi-même pour ensuite réussir à pardonner l’autre, plus tard, quand les blessures seront moins vives et que vous aurez le recul nécessaire.
Rien n’arrive par hasard. Prenez conscience que la relation toxique que vous avez vécu est un moyen pour vous de grandir, de vous renforcer et de vous connaître davantage. Lâchez prise, respirez et apportez-vous de la douceur.
3 – Faites le point, et re-connectez-vous à vous-même
Reprenez contact avec qui vous êtes vraiment. Redécouvrez-vous.
Qui êtes-vous ? Listez vos points fort. Listez vos passions. Listez vos valeurs. Que faites-vous avec facilité et plaisir ?
Savoir qui vous êtes selon votre regard et pas celui que les autres portent sur vous. Ecoutez votre coeur. Il sait ce que vous devez faire.
Et enfin, respectez-vous. Vous avez de la valeur, vous êtes une belle personne. Si vous voulez obtenir le respect des autres, commencez d’abord par vous-même.
4 – Entourez-vous des gens qui vous aiment
Grâce à la confiance, l’estime et le respect que vous vous portez, ouvrez-vous davantage aux autres, aux personnes qui vous acceptent tel(le) que vous êtes. Savourez 🙂 Vivez pleinement les instants passés auprès de vos proches et des nouvelles personnes rencontrées, qui ont tellement de choses à vous apporter. Soyez curieux/se !
5 – Essayer de nouvelles choses
A ce stade, vous vous sentez déjà plus léger(e) 🙂 Vous avez réveillé votre esprit, vous vous ouvrez davantage et vous êtes prêt(e) pour de nouvelles aventures.
Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ? Laissez libre court à vos envies 🙂 retrouvez de vieux rêves et réalisez-les, prenez soin de vous. Reprenez des activités que vous aimiez et que vous avez laissé de côté. Testez des choses que vous n’avez jamais fait. Mettez-vous au défi !
6 – Faites des projets
Rêvez à nouveau !
Maintenant que vous savez qui vous êtes, que vous êtes libéré(e), que vous avez retrouvé votre joie de vivre et une certaine légèreté, vous êtes prêt(e) pour construire !
Ayez une nouvelle vision de votre vie. Prenez plaisir à créer de nouveaux projets, savourez toutes les possibilités qui s’offrent à vous.
Si cet article vous a parlé et que vous pensez qu’il peut aider quelqu’un autre, n’hésitez pas à le partager 🙂 !
J’entends souvent en accompagnement des personnes me dire « je ne comprends pas pourquoi j’attire toujours les mêmes personnes », « l’autre doit changer… », « comment l’autre peut agir ainsi alors que moi j’en serais incapable », etc.
Nous souhaitons tous une chose au fond de nous : vivre des relations épanouissantes, riches, et être entouré de personnes qui nous aiment pour ce que nous sommes VRAIMENT, avec qui nous nous sentons joyeux, énergique, et confiant. D’ailleurs, nous avons tous déjà été en contact avec des personnes qui nous font nous sentir comme cela.
Mais alors, savez-vous pour quelles raisons nous nous entourons de tel ou tel type de personne, et surtout, comment faire pour améliorer ses relations et attirer les « bonnes » personnes ?
Les autres sont notre miroir.
Les personnes qui nous entourent et font partie de notre vie sont en réalité le reflet de nous-même. Donc, nous attirons ce que nous sommes.
Vous attirez des personnes joyeuses, positives, confiantes et énergiques ? Génial, vous l’êtes aussi !
A l’inverse, vous avez tendance à être entouré de personnes qui se plaignent, qui sont souvent en colère et jugent les autres ? C’est un signe que vous avez ces aspects là à prendre en compte pour changer vous-même, si vous souhaitez réellement améliorer vos relations.
Généralement, nous avons pour réflexe d’accuser l’autre, blâmer son comportement lorsqu’il nous dérange, et le rejeter. Pourtant, ces moments sont une formidable occasion d’apprendre à nous connaître davantage, si nous prenons conscience que ce qui est notre miroir, c’est ce que l’autre EST qui nous gêne, et non pas ce qu’il FAIT.
Tout ce que l’on voit chez l’autre existe en nous. Nous ne pouvons pas percevoir chez l’autre ce que nous ne sommes pas.
Maintenant que vous avez compris cela, vous allez pouvoir améliorer vos relations :).
Voici donc 5 étapes à suivre pour améliorer ses relations
1 – Prendre CONSCIENCE que vos relations sont votre miroir
C’est à dire, que :
– si quelqu’un vous énerve, c’est que vous êtes en colère contre vous-même. L’autre n’a fait qu’activer ce que vous avez déjà en vous. – si vous trouvez que l’on vous manque de respect, c’est certainement que vous ne vous respectez pas assez vous-même. – si vous sentez qu’une personne vous fuit ou vous évite alors que vous l’aimez beaucoup, c’est sans doute le signe que vous ne vous apportez pas assez d’amour à vous-même.
Vous devez prendre conscience du reflet que vous renvoient les autres selon les situations que vous vivez, et apprendre à vous connaître davantage.
2 – ACCEPTER qui vous êtes vraiment
Il n’y a pas de changement sans acceptation. Plutôt que de fuir ces aspects de vous que vous n’aimez pas et qui vous dérangent parce que vous avez des peurs (peur d’être jugé, peur d’être rejeté, peur de déplaire etc.), il vous est nécessaire pour changer, d’accepter cette réalité pour ensuite l’affronter. Fuir ces aspects de vous ne fera que les renforcer et accentuera votre malaise.
Alors, accueillez à bras ouverts ce que vous venez de découvrir de vous, et commencer à aimer les parties sombres de vous-même autant que les parties lumineuses. Lorsque vous aurez appris à aimer ces aspects sombres, vous ne les remarquerez même plus chez les autres, ils ne vous dérangeront plus.
3 – Savoir comment vous voulez vous SENTIR auprès des autres
Maintenant que vous avez pris conscience du reflet que vous renvoient les autres, que vous avez accepté cette partie de vous, et que vous vous connaissez davantage, vous devez savoir comment vous avez envie de vous SENTIR auprès des autres, pour attirer et rejeter naturellement les personnes que vous ferez entrer dans votre vie.
Ainsi, si vous avez envie de vous SENTIR joyeux et tranquille, et que vous l’êtes aussi désormais, vous allez naturellement vous rapprocher de personnes qui le seront aussi, éviter les personnes négatives et qui jugent les autres.
4 – Faire le tri dans vos relations
Une fois ces changements faits, un tri va naturellement se faire dans vos relations. Parfois déroutante, cette étape est néanmoins incontournable lorsque l’on change, et vous permettra de n’être entouré que de personnes qui vous aiment pour ce que vous ETES vraiment, et donc, de personnes qui ont « adhéré » à votre changement.
Les « mauvaises » personnes vous éviteront et changeront de comportement envers vous (et tant mieux !) , et les « bonnes » personnes resteront auprès de vous et apprécieront votre évolution.
5 – Savourer 🙂
Vous n’avez plus qu’à savourer ce que vous vivez, continuer d’être à l’écoute du reflet que vous renvoient les autres de vous-même, vous aimer chaque jour davantage et affiner la qualité de vos relations.
Si cet article vous a plu, vous a aidé, et si vous pensez qu’un proche aurait lui aussi envie d’améliorer ses relations, partagez le autour de vous 🙂
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J’entends souvent en accompagnement des personnes me dire « je ne comprends pas pourquoi j’attire toujours les mêmes personnes », « l’autre doit changer… », « comment l’autre peut agir ainsi alors que moi j’en serais incapable », etc.
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